" Jamais plus, tu ne pourras tomber plus bas ..."

C'est par une journée au temps de pluie... La pluie, cette eaux qui tombe du ciel, si semblable au pleure du ciel. C'est un jeunne homme au cheveux bruns qui trainait dans les rues pauvres et défoncé de Tomodachi, un endroit qui semblait comme marquer d'une pauvreté et un paysage navré s'en dégageais...

Etrangement, le lieux pouvais presque reflèter ce que le garcon a la capuche ressentais, un amère sentiment, Les quartier defoncé montrais a quelle point les combats pouvait être violent, combien d'innoncent, de veuve, d'orphelins, avait ils fait? Une longue reflexion sur l'utilisation de la puissance et de pouvoirs s'en suivait, Car si il n'étais pas revenu durant ces derniers temps... Il ne semblais pas pour autant se foutre des dégats qu'avait subi la ville.

Il étais donc vetu d'une longue veste et d'une capuche, cette fois c'était sur, jamais plus, il ne pourrais tomber plus bas... Il était revenu de loin, et d'ailleur pourquoi était il revenu? Cette même question le tracassait encore et encore. en attendant de trouver réponse a ce dilème qui s'imposait a lui comme une évidence, il continua a errer dans les décombres et le quartier mal famé de Tomodachi... des gens le fixait... ce qui le mit mal a l'aise...

[HRPG: J'adore trop ta façon d'écrire ! ^^ On s'y croirait]

Il pleuvait des cordes. Personne n'aurait pu affirmer le contraire, à part peut-être les personnes aveugles complétement dénudés de sens, et surtout du toucher, car il faut avouer, personne d'humain ne peut éviter, ou même ne pas sentir ses lourdes gouttes de pluie qui passaient à travers les vétements. L'ambiance maussade qui régnait à cause de l'eau était renforcée par l'atmosphére pesante que dégageait les Bas-Quartiers. Mitsuko détestait parfaitement y aller. Les devils n'avaient jamais été son point fort, et elle les méprisait par dessus tout ce qu'elle pouvait imaginer.
L'ennui dans tout cela c'est qu'elle n'avait pas le choix. Elle était obligée en tant que gardienne guérrisseuse de venir en aide à toutes les personnes dans le besoin, même les pires. Heuresement pour la jeune femme, Mitss la suivait vaillament à la trace par voie aérienne. Le magnifique phénix donnait au ciel une couleur rouge légérement teintée qui sortait par cela de ce gris persistant.
Cela puait aussi. Des odeurs de vaiselle moisies accompagnée de dechets de toutes sortes gisaient çà et là au sol.

*C'est absolument répugnant !*

Envoya t'elle à Mitss en se bouchant le nez aussi bien qu'elle le pu. Elle poursuit sa route. Constamment on l'épiait. Elle sentait les regards perçants des rodeurs sur ses vétements transparents à cause de l'eau, et ne savait plus ou se mettre. De toute façon, elle pensait que vu l'état dans lequel était ses cheveux, d'une part on pouvait difficilement faire pire, et d'autre part on n'aurait pas pu la reconnaitre.

*Une note de légéreté dans ce monde d'affrosité*

Pensa t'elle sans trop y croire. Elle tourna à l'angle d'une rue, et releva un enfant qui devait avoir dans les 6ans de son tas de boue. Elle l'aida à nettoyer ce qui lui restait d'affaires, et à lui redonner de "l'élégance". Le gamin la remercia et partit en courant. Alors qu'elle souriait de son action, elle releva la tête secouant ainsi ses cheveux tout mouillé, et distingua une silhouette sombre parmis le mur d'eau qui tombait devant ses yeux. A cause de la distance, elle ne put savoir qui était cet homme, mais quelque chose dans son corps se serra. Elle ne savait pas ce que c'était, et encore moins pourquoi son coeur réagissait de la sorte, mais la personne devant elle l'intriguait. Elle jetta un coup d'oeil complice à Mitss et s'approcha. Elle posa sa main sur l'épaule du jeune homme

"Excusez-moi Monsieur, mais je ne suis pas sure que cela soit le meilleur endroit pour vous arrêtez. Venez vous mettre à l'abrit ne restez pas sous ces trombes d'eau"

Il fallait avouer que vu l'état dans lequel elle se trouvait, l'individu allait parfaitement la prendre pour une folle.

Dans sa longue réflexion philosophique dans laquel se disputerai presque en lui le bien et le mal, il fut interompu par une main qui se posa sur son épaule. La pluie continuais de tomber dru et alors, le jeune garcon marqua une pause. C'était manifestement une fois de femme qui se dégageais derrière lui du brouhaha de la ville en demi ruine.
Le garcon encore vêtu de sa capuche baissa la tête au sol, il regarda longuement ce sol totalement inondé par les eau qui martelait sans aucun repit tout ce qui se trouvais être sous cette énorme masse de coton noir qui semblais être un nuage dont la taille était telle que le garcon se demandais si il ne recouvrait pas la totalité de la surface terreste... Cela faisait bien longtemps que personne ne l'avait touché, les gens préfferaient naturellement evité le contact avec ce jeune garcon. Alors quand il sentit la main sur son épaule, il répondit brèvement...

Merci madame, mais ne vous en faite pas, cette pluie n'est rien.

Il ne se retourna pas, et repris alors sa marche, la main qui était sur son épaule tomba finalement, et il se remis a penser a des choses diverses et variés. Etait ce la signature de son frère Kalim? Etait il a l'origine de la majeure destruction de la ville? fallait il penser a une vengeance? Une véritable tourmente semblais maintenant agacé le jeune garcon... Il avait presque évité tout contact avec l'individu, il n'était peut être physiquement qu'a quelque metres d'elle, mais mentalement a des années lumière de toute idée de qui elle était en réalité...

Mitss qui observait la scéne de haut comme un rapace en quète de sa proie, fut plus qu'étonné en voyant que le garçon refusait l'aide de sa maitresse alors que son aura ne parraissait pas foncièrement mauvaise. Il descendit un peu plus près du sol, mais resta distance.

Mitsuko quant à elle, avait gardé des yeux ronds. Le jeune homme ne lui avait pas même adressé un regard, mais avait refusé son offre poliment. Bien qu'il n'était pas dans son habitude de se faire appeler "Madame", elle n'en fut pas étonnée. Elle ne voulait pas jetter un oeil au phénix au dessus d'elle, pour ne pas recevoir les habituelles remontrances sur sa gentillesse universelle qui n'était pas au gout de tous. Mais la jeune déesse avait sincérement du mal à renoncer si rapidement. D'autant, que l'état de l'individu, et surtout sa santé dependait de son intervention. Elle se tortura l'esprit pour essayer de trouver une méthode qui le ferait changer d'avis. Après tout si le garçon était dans une profonde déprime, la pluie avait toujours porté conseil, et Mitsuko le comprenait.

Les rues étaient anormalement desertes à cette heure avancée de la journée, et la jeune fille avait beau chercher de l'aide, elle ne trouvait personne. De toute manière elle doutait grandement de l'aide qu'on aurait put lui apporter dans des quartiers si miteux. Elle avait mal à la tête tellement elle réflechissait desemparée à la façon avec laquelle elle devait réagir. Elle avait comme l'impression que de nombreuses opinions lui couraient dans la tete dans tous les sens pour lui faire adopter telle ou telle technique. Elle hurla alors aussi soudainement et bruyamment que possible, et encore avec le son lourd de la pluie on avait pas du l'entendre de très loin. Cependant elle avait écarté ses deux bras de façon perpendiculaire au reste de son corps, comme si elle évitait de se faire écraser par deux murs qui se rapprocheraient d'elle. Soudainement la pluie se divisa. Il y eut comme un couloir qui se prolongeait du garçon à la jeune fille. Elle pensa que si il refusait son aide, elle pouvait cependant eviter qu'il se fasse un peu plus mouiller.

Elle sourit alors comme satisfaite de ce qu'elle venait de faire. Mitss qui la suivait de près fut tellement surpris par son cri qu'il faillit perdre sa trajectoire, et partir dans un courant aérien qui le poussait vers l'arrière. La jeune déesse pivota sur ses talons et commença à guetter tout ce qu'il y a avait autour d'elle, pour venir en aide aux autres. Elle pensait en avoir fait suffisament pour permettre à l'homme de continuer sa route perdu dans ses pensées sans être trempé pour autant.

*On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.*

Se dit-elle comme pour se rassurer de ses actes

Pour la seconde fois, la jeune femme derrière lui l'avais mis hors de sa propre penser. Quand elle se mis a hurler, une aura pouvais se faire sentir, en effet la jeune demoiselle semblais avoir dispercer les nuages, et l'eau ne coulais plus le jeune homme qui se mis alors a penser...

* Avec leurs mains, ils déchiraient le ciel, et de leurs pieds, entrouvraient le sol .... *

C'était très précisement ce que venait de faire la jeune femme, Alors le jeune garçon s'arreta d'un pas. Il regarda aussi de lui le nuage coupé en deux... La jeune femme semblait déterminé plus que tout pour l'aider... Mais lui, il aimais la pluie, et il ne comprenais pas pourquoi elle s'obstinait ainsi, alors comme tout autan hors de sa propre penser, il était maintenant hors de sa patience, il se décida a faire comprendre a la jeune femme qu'il pouvais le faire tout aussi bien, et en quelques seconde, la temperature qui regnait autour d'eux chuta violement, les goute devenais glace avant de toucher le sol. Alors le jeune garcon se retourna et fit apparaitre un mur rouge d'ou en sortait une infinité d'épée, puis attrapa une épée de couleurs or et rouge

Qui est tu? Et comment as tu reussi a faire ca?!

De l'air commenca a tourné autour de son épée, sa capuche sous l'effet du vent fut ramener en arrière laissant ainsi sa tête maintenant a découvert... le flot de vent qui tournait autour de lui l'empechait de distinguer qui était la personne, mais il sentait qu'elle possédais des pouvoirs non négligeable...

C'est Mitss qui anticipa le premier l'attaque du garçon. il plongea en piquet et battit des ailes au dessus de se maitresse provoquant une petite bourrasque. Mitsuko réactionna vite aussi. Elle re-pivota et plaça ses deux bras croisés devant ses yeux. Une sorte de grande lentille de contact se forma devant elle. Les gouttes de glace d'Haphea passérent au travers du mur le rendant ainsi completement maleable. Le contact avec les gouttes donnait l'impression que le bouclier se changeait en sable

"On l'a sous-estimé !"

Hurla t'elle en essayant de faire sortir un deuxiéme bouclier. Mais le sable produit par le contact des "larmes" de glace l'avait éblouie, et elle se reçu un projectil sur la joue droite. Cette sensation fraiche lui rappela étrangement quelqu'un. La tete de l'individu se dessina alors devant elle. Il avait perdu sa capuche. Elle se figea. Cela n'était pas possible, pas lui, pas ici... Elle ouvrit des yeux ronds et abandonna toute tentative de protection.. Le bouclier de sable bleu se dissipa. Mitss ne comprenant pas ce qui lui prenait commençait à pousser des cris stridents. Doucement, et à force de se prendre des petits grelons sur le visage, la jeune fille devint toute rouge tellement le froid lui piquait les joues. Et même la larme chaude qui y coulait n'en changeait pas la couleur...

En voyant alors que la jeune femme cesse nettement toute tentative de riposte, le garcon fit cesser l'air qui tournais autour de lui en une véritable tornade. Lorsque le vent lui permis enfin de voir qui se trouvais devant lui, Il semblais comme paralysé, il lacha son épée qui heurta le sol en un bruit lourd et mécanique. Le mur rouge derriere lui disparu alors en une buée rouge presque indecelable a l'oeil.
Le garcon n'en revenait pas, c'était Mitsuko. il resta bouche bée, la glace qui l'encerclait se dissipa desuite tout autan que la température qui semblais maintenant si froide que même un ours polaire pouvais en attraper un rhume se dissipa imédiatement.

Le temps par contre lui rester gelée, sans la moindre capacité de faire le moindre mouvement, il avait faillit levé la main sur celle qu il aimais! Il ne s'attendait aucunement a la retrouvé ici, dans ce quartier mal famé et surtout, il ne s'attendait pas a ce que ce soit elle qui le retrouva la première, apres 4 longues année d'absence...Finalement a bout de voix, il prononça

Mitsu...?

Malgrés ses larmes la jeune fille eut un sourire chaleureux qui en disait long sur ce qu'elle ressentait au fond de son coeur. Mitss était comme paralisé au dessus de sa tete. Non pas parce qu'il ressentait l'union qui uniait de nouveau les deux ames, mais parce qu'ils avaient faillit se tuer mutuellement. Il n'en revenait pas.
Mitsuko jetta un oeil au temps. Il fait horriblement froid tout d'un coup, et si elle n'était pas dans ce sentiment d'excitation pernanente, elle était sure qu'elle aurait pu mourrir sur place congelée. Elle sentait aussi qu'il avait énormément du mal à la reconnaitre, mais surtout à s'approcher. Visiblement il n'avait pas perdu cette sensibilité qui lui allait si bien il y a plusieurs années.
Bien qu'elle avait des jambes qui tremblait plus que jamais, Mitsuko fit un pas en hochant la tête pour répondre à son bien-aimée. Elle se demandait comment elle aurait pu faire pour avancer jusqu'à lui tellement elle frissonait, de froid et d'émotions. Elle sentait d'ailleurs l'incompréhension de Mitss au dessus de sa tete sur son immobilité. Mais la jeune fille s'en moquait plus que tout. Ce qu'elle faisait à ce moment précis c'était fixer ce garçon qui l'avait quitté de façon trop brutale il y a 4 ans. C'était comme si son coeur venait de se liberer d'un poids qui l'emprisonait depuis des lustres. Elle s'en voulait de ne pas pouvoir faire un geste, ou prononcer une parole. Elle avait encore tellement peur que cela soit un illusion...

Entre les flocons de neige blanche d'une pureté sans précèdant, les deux personnes se regardaient droit dans les yeux, en garde, comme si ils étaient près a en découdre alors qu'ils ne ressentaient qu'une envie commune, se serrer l'un dans les bras de l'autre.
Le temps geler, leurs regard d'une innocence toute aussi pure que les trainés de glace former par les flocons étaient plongé l'un dans l'autre. Telle une symbiose, les deux personnes semblaient totalement deconecté, et même au beau milieu d'un combat, rien n'aurais pu les interompre. Le silence fut brisé par le son strident du métal qui heurt violement le sol. Totalement désemparer face a la femme qu'il aimais, sans aucune capacité de défense face a un coeur qui ne cesse de lui crier son nom. L'incapacité de quoi que ce soit.
Il avait devant lui la femme pour laquelle il vivait, la demoiselle qui par une seule de ses pensé calmais sa haine hors de toute atteinte ou presque. Cette femme qui répresentais tout a ces ou presque, cette derniere qui était en elle seul la raison de vivre du dieux reincarné sur terre. L'épée heurtant le sol, un doux frisson parcourue Haphea, et une larme coula sur ses joue pour elle aussi heurté en un bruit presque inaudible le sol. Un flot de souvenir lui revint en memoire... Sa bataille avec les etres célèste, son combat qui l'opposait a son seul lien de parenté Ashram Kali, la souffrance qu'avait éprouvé Mitsuko au cours de cette bataille. la devastatrice bataille qui l'avais opposer a Saber... Et autant de larme que de souvenir fut revenue en memoire que de larme perlais au tendre coin de ses yeux rouge qui n'avais alors plus reflet de flamme mais un relfet de pur amour saint.

Le Garcon avança alors lentement les larmes au yeux, il marchait au milieu des flocon de neige glacés qui semblaient d'ailleurs même l'évité, Son épée disparu aussi instantanement qu'elle était apparue, alors quand il arriva devant la femme qu'il considerait comme sa déesse, comme la seule femme capable d'être aimer et qu'il pouvait aimer, il tomba agenouiller devant elle. le genoux sur le sol froid, la tête baisser vers le sol, l'expression d'un visage meurtrie par la souffrance et le remord, comme une âme repentissante face a son propre purgatoire, le regard charger de larmes, il se tut pour le moment. En silence agenouiller devant Mitsuko, comme un homme sous le pouvoirs sans faille d'un roi, ou plutot d'une reine, une enorme guerre s'elança alors en lui, le combat du corps contre le coeur. Mais face a la volonté du corps de ne pas emetre une larme de plus, et un coeur dechiré par une retrouvaille inesperer, le combat tourna vite en son desavantage, et alors que les flocons de neige ne tombais maintenant plus au sol, Des larmes coulaient maintenant a flot de ses yeux rouge, comme le drapeau d'une nation qui vient d'ecraser fatalement son adversaire, son propre coeur avait nettement negligé son corps et pris sur Haphea un dessus indiscutable. Alors d'un geste lent il posa sa tete sur le bas du ventre de Mitsuko, en sanglot. Comme si il revenait d'un enfer qu'il avait surrement du voir il y'a peu et dont il avais perdu l'espoir un jour d'entre voir a nouveau le monde, il sanglota contre ses vetements deja humide de la neige fraichement tombé pour murmurer quelque chose comme ceci...

Mitsuko...Je suis... désolé explosa t'l en larme...

(HRP : desoler pour l'attente, mais au moin tu as une jolie reponse ^^ )

Le temps s'était arreté. Mitsuko ne voyait même plus les flocons tomber en masse à coté d'elle. A vrai dire, elle ne réalisait certainement pas ce qui se passait, et on sentait deja l'exaspération grandissante de Mitss, qui ne possédait sans doute pas un cerveau assez développé pour comprendre ce qui se passait entre eux. son dieu eut quand même la force d'avancer jusqu'à elle. Bien qu'elle se sentait, elle, incapable de bouger, son coeur lui battait à tout rompre. Elle aurait voulu n'être qu'une ame pour voler jusqu'à lui, n'être qu'un oiseau pour deployer ses ailes vers son corps, n'être que l'air pour pouvoir l'englober de son souffle.
Il tomba alors sur le sol froid, desemparé, comme si son âme, elle, était ailleurs, sur la Lune qui sait ? Le son de sa voix fut pour Mitsuko encore mieux qu'une bouffée d'air frais. Elle sourit, d'un sourire, que même son visage avait du mal à contenir. Elle s'agenouilla juste en face de lui, interdite. Elle observait son coprs légérement blanchi par la neige environante, elle observait ses mains, ses jambes, ses épaules ses cheveux, tout ce qui lui avait manqué depuis longtemps. Enfin elle passa sa main sous son menton, et lui leva la tête. Elle fut hypnotisée par ses yeux, qui humides renvoyaient clairement sa propre image. Haphea paraissait déchiré, affaibli, impuissant. La jeune fille ne put se retenir plus longtemps, dans un flot de larmes elle l'enlaça.

Il était glacé, aussi froid que la neige qui les entourait. La jeune fille essayait de le rechauffer autant que possible avec son propre corps guère plus chaud. A deux, la chaleur revint plus rapidement. Tout son passé lui revint alors en mémoire, depuis sa naissance, voire même depuis sa réincarnation. Elle souriait, d'un rire béat, et légéreent figé, comme si elle avait retrouvé la pièce qui manquait à son coeur, à son ame, à son corps. Elle l'embrassa alors doucement dans le cou. Elle fut parcourue d'un frisson, qu'elle transfera à l'homme. Puis, doucement, elle se rapprocha de ses joues, ses yeux, et enfin ses lévres. Elles rencontrèrent les siennes, comme des pas font craqueler de la glace. Elle pleurait, et ses larmes creusaient des coulées plus claires sur son visage sombre...
Le phénix poussa un cri strident, et la déesse éclata en sanglot.

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