Une soirée d'enfer [Public] <-------- Déconseillé au moins de 16 ans

La journée avais si bien commencé, par une balade le long des rues marchandes de Tomodachi, il venait de finir son boulot de serveur, et repartait chez lui. Lors de son dernier combat il avait eût une sorte de malaise, comme le sentiment d'avoir une crises cardiaque, l'ange au fond de son âmes se battait pour reprendre le dessus.
Il ne c'était donc plus battu depuis bien des semaines, les actes de Red avais eût un effet positif parmi les gangs qui résidaient dans les bas quartiers de Tomodachi. Ces gangs avaient en quelque sorte peur que s’ils agissaient, Red les tueraient, leur montrant qui est le maître, ils décidèrent donc de ne plus se manifester jusqu'à aujourd'hui. Une Rumeur avait couru comme quoi le Devil s'était retiré de la circulation, qu'il ne se battait plus, et qu'il était en piteux état depuis son dernier duel.
Le taux de criminalité commençait alors doucement à remonter, et une compétition avait commencé, le premier des gangs qui volerait au Démon sa "couronne" et règnerait sur les bas quartiers.

Ainsi l'assassin distrait par le besoin de repos ce fit attaquer, seuls les nombreux bruits de pas l'avertirent, trop tard. Ils étaient une bonne vingtaine des gamins pour la plupart, de la quinzaine à la vingtaine. Ils le prirent d'assaut de dos, le premier le plus près de l'assassin le frappa à la batte de baseball en plein derrière la tête, il s'effondra sous le coup. Il avait réussie à ne pas tomber dans les pommes, un de ses assaillants le relava et ils se mirent à plusieurs à le maintenir les bras écartés, immobile, pendant que les autre le rouaient de coups soit en plein ventre, soit en pleine face. Il eut un moment de répit d'une demi seconde jusqu'à ce que le chef lui plante un couteau dans le ventre en le remuant doucement, à la manière d'un harakiri il laissa le couteau et empoigna le manche d'un katana, il allait sans doute lui trancher la gorge mais la dernière choses qu'il put admirer fût les yeux rouges de Red, avant que sa tête ne roule sur le sol. Le démon avait invoqué trois des péchés capitaux qui devaient lui conférer chacun son tour une puissance fantastique. La première qu'il invoqua au moment où le chef lui avait planté un couteau dans le ventre était Invidia, l'envie,
Qui lui conféra une grande vitesse. Il avait arraché son bras et lui avait littéralement déchirés le cou. Il enleva le couteau de son ventre et le planta à une vitesse impressionnante dans l'œil de celui qui l'avait relevé, lui transperçant le cerveau. Réellement il n'avait pas la moindre chance contre autant de personnes. depuis son denier combat il avait en quelque sorte diminué de force, il était devenu plus faible, comme si une maladie parcourait son corps. Il devait donc être démonstratif, et c'est pour cela qu'il égorgea deux des plus jeunes garçons faisant gicler leur sang sur leurs ex-ainés qui prirent la fuite quelque secondes plus tard. En fouillant les cadavres il trouva un petit sachet de poudre blanche, qu'il mit dans sa poche, qui pourrait peut-être atténuer sa douleur plus tard.

Il marcha quelque pas dans la centre de ville une main au ventre, couvrant sa plaies dégoulinant de sang, et son corps marqués de tous les coups bleuâtres. Pour réussir à ne pas tomber au sol il fit aussi appel à un autre des péchés capitaux "Luxuria" La douleur partie et son corps frémis d'un plaisir enfouie. Il avait même put immoler sa plaie pour la faire cicatriser. Plus loin dans la rue lui apparue Haruki se baladant dans une robe, qui dessinait plutôt bien les formes de son corps.
Guidé par le péché de la luxure, il se dirigea vers elle, vida toute la drogue, ramassé tantôt, dans sa bouche, et enlaça de dos haruki, lui tourna délicatement la tête, l'embrassa et lui versa de bouche à bouche la drogue qu'elle avala par réflexe.

C'est ainsi que 14h plus tard la jeune femme se réveilla dans un lieu qui lui était inconnu.

ATTENTION LES POST QUI SUIVENT CELUI-CI SERONT DECONSEILLES AUX MOINS DE 16 ANS

La journée avait démarrée comme tout les jours, Haruki se baladait dans le centre ville de Tomodachi sans but précis, quand d'un coup elle se sentit enlacée de dos, elle n'eut pas le temps de réagir qu'on lui tourna la tête avant de l'embrasser, elle ne vit pas de qui il s'agissait, mais elle sentit une sorte de poudre glisser le long de sa gorge puis plus rien. Un vide. Comme si elle avait fait une sorte de bond dans le temps.

Quand le vide cessa, elle sentit qu'elle était dans un lit, elle crut tout d'abord être au manoir des Hebis, seulement un détail attira son attention : Zen ! Il n'était pas là ! Elle se retourna mais le lit semblait vide, elle ouvrit alors les yeux, elle vit alors des tas d'arme posés contre un mur, elle sursauta alors, la pièce lui était totalement inconnue, elle savait que jamais avant elle n'avait été dans ce lieu. Il faisait assez sombre, la chambre, bien que semblant luxeuse, était assez désordonnées, elle remarqua alors que ses vêtements semblaient avoir été jetés sur le sol dans la précipitation, elle se leva et s'habilla d'un coup, un immense sentiment de culpabilité en elle : que c'était-il passé ? Où était-elle ? Comment était-elle arrivée là ? Et surtout : qu'avait-elle fait ? Elle secoua rapidement la tête, comme pour se persuader que tout n'était qu'un mauvais rêve.

Elle entendit comme un bruit venant d'une pièce adjacente, une seule idée lui vint en tête : fuir ! Peut importe ce qu'il s'était passé ! Elle jeta un oeil à l'horloge sur le côté : la petite aiguille était sur le chiffre huit, il devait donc être vers les huit heures, elle se rassura en se disant qu'elle n'avait du être partie que deux heures, mais pourtant, la lumière était, bien que peu présente, comme en plein jour.

*Je serais partie depuis...Plus de douze heures...Non !*

Elle se précipita alors vers la sortie, tentant de retrouver le lieu où elle avait entendu le bruit, elle arriva alors à ce qui sembla être un salon assez vaste, à l'image de la chambre, au centre, un fauteuil de cuir au centre était dirigé vers une télévision, à l'opposé, une sorte de bar semblait séparer le salon de ce qui semblait être la cuisine, c'est alors qu'elle eut un instant comme une sorte de flash, elle semblait à priori allongée sur le lit où elle s’était réveillée, face à elle, le visage d’un homme, pendant un instant, elle crut qu’il s’agissait de Zen, mais il en était différent en tout point, elle le connaissait, c’était quelqu’un qu’elle avait ramené à la vie peu après son arrivée : Red ! Il semblait avoir sur le visage un sourire satisfait et lui susurrait des paroles à l’oreille avant de lui mordiller. La nécromancienne avait alors semblé comme folle, emplie d’une sorte de désir sans fin.

La flash cessa, elle cligna plusieurs fois des yeux avant de les fermer quelques secondes.

*C'est...Je...Non ! Impossible !*

Lorsqu'elle réouvrit les yeux, elle vit alors, derrière le bar, Red, elle était chez lui, elle parut alors effrayée, elle recula de quelques pas.

"Que...Qu'est-ce que..."

Elle semblait comme paralysée, dans un sens, elle pouvait aisément deviner ce qu'il s'était passé, mais elle le refusait, pour elle, c'était impossible, elle repensa alors un instant à Zen, son coeur ce serra, elle devait avant tout découvrir la vérité, elle savait qu'elle ne saurait vivre dans le mystère, elle chassa alors celui qu'elle aimait de son esprit, ses yeux montraient du dégout, envers Red surtout, mais envers elle aussi !

Red regarda d'un air satisfait son invitée, ou du moins, maintenant ils se connaissaient mieux... On pouvait voir sur les bras d'Haruki les marques des draps, il pouvait d'ailleurs aisément imaginer ces mêmes marques sur le reste de son corps.
Le Devil torse nu mettant à vue ces nombreuses cicatrises et les muscles qu'il s'était forgé au combat. Tenant dans une main une tasse dans laquelle il versait du café. C'était vrai qu'il était amplement satisfait à vrai dire Haruki s'était montrée pleine de talents cachés. Il lui adressa un regard joyeux, et un sourire amusé. Il fit quelque pas vers la jeune femme la déshabillant du regard. Il lui adressa une question assez surprenante quoi que commune mais pas dans la situation présente.

"Je peux te servir quelque chose ? je te conseille un café il est délicieux, de plus tu risques d'en avoir besoin..."

Il regarda la nécromancienne d'une expression assez douce mais ses yeux brillaient d'une lueur de malice, comme après un crime, comme s’il lui avait volé quelque chose. Elle aussi pouvait le ressentir Red lui avait volé quelque choses qu'elle n'arrivait pas à discerner ou du moins qu'elle ne voulait pas savoir. Voir son regard dégouté, désespéré, était un véritable plaisir. Son corps tremblant sous le doute était si merveilleux à regarder. Il ne put s'empêcher de s'approcher d'elle et de lui voler encore une fois un baisé, tout en lui caressant la joue. Il murmura à l'oreille de la magnifique jeune femme.

"Alors que prendras-tu ?"

Il recula de quelque pas en direction du bar qui séparait la cuisine et le salon, sur son dos on pouvait voir tatoué le chiffre romain 1 et plusieurs autres cicatrises assez étrange, circulaire de brulure et autre, les méandres d'une séance de torture alors qu'il était enfant. D'ailleurs c'était ce chiffre romain qui réunissait Vp et Red et qui allait faire une autre victime, juste un numéro de série... leur histoire allait se relier en certain points. Aussi douloureux qu'inimaginable.

Un nouveau flash eut alors lieux, cette fois, Haruki ne discerna pas clairement le visage de Red, elle était comme bercée et semblait murmurer des paroles inaudibles, mais peut être n’étais-ce pas vraiment des paroles ? La nuit était tombée, la Lune devait être la seule lueur qui perçait dans la chambre, elle sentit comme des sortes de frissons aux caresse du Devil sur sa peau dénudée. Sans vraiment comprendre, la folie avait diminuée, de même que le désir, ils étaient évidemment toujours bel et bien présents, mais s’y était ajouté une sorte de plaisir immense qui semblait ne pas cesser de si tôt.

Suite à ce nouveau flash, le dégout grandit dans les yeux de la nécromancienne, mais cette fois, ce n'était plus vraiment Red qui la dégoutait, c'était elle-même ! Elle était dégoutée de ce qu'elle avait fait, elle blêmit, devenant blanche comme un linge, trop de coïncidence semblaient se succéder, des larmes se mirent à couler de ses yeux en repensant à ce qu'elle devait avoir fait. Comment ne s'en était-elle pas souvenue ? Elle repensa alors à la poudre qui avait glisser le long de sa gorge, elle avait été droguée ! Elle se demanda alors comment elle avait put faire ça sans s'en rendre compte, elle manqua alors de vomir de dégout, mais se retint. Elle pensa un instant à Zen, ses larmes redoublèrent, elle le chassa alors de son esprit, ne se jugeant pas assez digne pour ne serais-ce que penser à celui qu'elle aimait. Elle avait l'impression de l'avoir trahi, alors que lui avait toujours été là pour elle.

Elle s'éloigna alors de quelques pas et prit un tabouret qui se trouvait sur le côté, l'envoyant en pleine face du Devil, sans même regarder où elle le lançait, elle se mit alors à courir vers la sortie, en l'atteignant, elle tourna la clinche et le peu d'espoir qui lui restait disparut. Fermée ! La porte refusait de s'ouvrir et ce malgré que la nécromancienne tirait de toutes ses forces. Elle s'écroula alors à genoux, anéantie le poing contre la porte, sanglotant, elle eut alors une pensée pour son fils, elle se mit alors à murmurer :

"Pas encore là mais déja si précieux
Pour qu'un jour tu puisses te réveiller
Hors de rêves qui peuvent être merveilleux
Je vais maintenant te protéger"

Elle plissa alors les yeux et murmura :

"Pardon...Pardon..."

La fille qui lui était en face de lui gémissait sous les poids des souvenirs, son esprit commencer a s'ébranler doucement. Désespéré elle lui envoya un tabourets en plein visage il n'eût pas réellement de difficulté à esquivé, et se geste stupide déclencha un rire imposent. Tout en rigolant il regarda Haruki espérant qu'il n'ait pas fermer la porte à verrous. Quand elle écroulas et se mit a pleurer comme une vulgaire gamine, s'était l'apothéose, son rire résonna dans tout l'appartement.

"Hahahahahahaha, PITOYABLE, HAHAHAHAhAHAAAAAA... Maintenant ma très chère nous allons nous amuser !!! IRA"

Il venait cette fois encore d'incanter le dernier des péchés capitaux qu'il maitrisait la colère, la haine et de la perfidie mêlait dans un tourbillon donnant naissance a la Sainte folie. Red aller crée L'harmonie à partir du chaos, un acte quasis divin. Il se rua vers la jeune nécromancienne et d'un coup de pied en plein derrière la tète il lui éclata contre la porte. A moitié assommer il la porta jusqu'à sa chambre la mit sur le dos sur son lit ou il avait passer la soirée.

"Du plaisir aux malheur"

Il la regarda, prit 5 dague trônant sur son murs et lui planta dans les épaule, l'empêchant de bouger les bras, mais aussi dans les cuisse pour qu'elle ne puisse aussi bouger les jambes, pile la ou les nerf passer les tranchants littéralement. Il commença en douceur, il la regarda d'un doux sourire, telle des coup de masse il lui brisa les cotes a main nue, dans un si jolie bruit de craquement, qui pouvait être comparé au craquement d'une branche. Ensuite avec la celle dague qui lui restait il lui ouvrir profondément les flans pour lui extraire les cotes flottante à main nue. De suite il brula les plaie pour la faire cicatriser et l'empêchait de faire une hémorragie, et lui frappa d'un crochet du gauche pour l'empêchait de tomber dans les pomme, ratent de peu de lui décoché la mâchoire.
Il changea un peu alors un peu plus amusent, il prit son poignet droit et lui retira un carré de chair et admira ses veine et nerf a découvert, rapidement il fit un aller retour entre la chambre ou plutôt la salle de torture et la cuisine et ramena du gros sel.

"On vas un peu jouer a la cuisine" dit-il heureux comme un gamin

Il mit quelque pincer de sel dans la plaie et sur les veine et nerf a découvert. Et tous doucement il enfonça sa dague et fessant tournait en même temps qu'il l'enfoncer. jusqu'à traverser doucement le poignet entier perforant aussi l'os. après avoir bien touillées avec la dague il en sorte un morceau de chair qu'il fot bruler en quelque seconde et le dégusta. Il alla a sont armoire en bois massif de chêne contre un des autres murs de sa chambre et en sortie une cravate, qu'il se servit pour faire un garrot au bras pour éviter qu'elle perde tout son sang trop vite. Haruki ne pouvait s'arrêter hurler jusqu'à s'en briser la voie .
Enfin il s'attaqua au niveau du ventre tout simplement il lui transperça le ventre a l'aide de sa dague pour l'apogée il fit chauffer la dague, qui laissa dans le centre d'Haruki, a une température si important que de son venter commencer a sortir une fumée sa chaire commencer a se carboniser ainsi que ses organes internes. La victime qui allait tourner de l'œil reprit de plus belle, tout l'immeuble l'entendit hurler de douleur.

Sur ses doigts commencer a pousser des griffes acérés. De sa main droit il plongea dans la cuisse la nécromancienne avant dans déchirer lentement une partie de son muscle.

"Tu n'as pas encore vus le plus amusant"dit-il en lui portant une partie des muscle de sa cuisse au niveau de sa vue.

Si Haruki avait crut que l’Enfer existait, la vision qu’elle aurait eu de ce dernier aurait sans doute changé à ce moment, elle ne l’aurait plus vu comme une sorte de monde noir, remplis de pierres prêtes à vous trancher à la moindre seconde près d’où s’écoulait d’immenses cascade de sang bouillonnant, non, elle l’aurait vu comme l’appartement de Red. Il l’avait détruite moralement, il allait maintenant la détruire physiquement !

En entendant le rire de Red, tout l’espoir avait disparut en un instant, en général, elle le retrouvait assez facilement en pensant à Zen, mais dans ce cas-ci, elle s’y refusait ! Même si il s’agissait d’un viol, la drogue avait fait qu’elle n’avait pas vraiment, au moment où ça s’était déroulé, pensé être violée, elle avait donc l’impression d’avoir trahi Zen. Elle avait alors perdu connaissance, en rouvrant les yeux, elle était à nouveau sur le lit où elle s’était réveillée, elle qui prétendait ne pas connaître la peur pour elle-même si souvent, elle la ressentait à un tel point que même ça en était effrayant. Elle vit Red lui planter quatre de ses dagues dans les épaules et les cuisses, elle tenta alors d’essayer de bouger pour fuir, jugeant qu’elle ne pourrait pas se défendre, mais son corps ne répondait plus.

Le démon avait alors décidé de lui briser les côtes, la première lui arracha un hurlement terrifiant et se fut de même pour la seconde, la troisième et toutes celles qui suivaient. Un dernier détail l’inquiéta alors : Red avait pris cinq dagues et non quatre, il comptait sans doute ne pas se servir de la dernière comme d’une décoration et en effet, à peine avait-elle pensé ça qu’il lui ouvrit les flancs, la douleur lui aurait sans doute parut plus vive en temps normal, mais là, après avoir eut les côtes cassées une à une à main nue, la douleur lui sembla comme moins forte, mais persistante néanmoins. La nécromancienne sentit alors les mains du Devil pénétrer sa peau, ce qui lui arracha à chaque fois un gémissement de douleur, elle avait comme eut le souffle coupé à chaque côte qu’il lui enlevait.

Elle tenta de fermer les yeux afin de se concentrer, elle voulait disparaitre dans sa propre ombre sur les draps, mais rien n’y fait, elle ne pouvait se connecter à l’âme de Flamme pour le faire, elle tenta alors d’appeler Subaru, l’ange aurait pu l’aider ou au moins la soigner pour qu’elle puisse fuir, mais rien n’y fait, la douleur l’empêchait même de se concentrer ne serais-ce qu’une seconde, elle commença alors à espérer que suffisamment de sang coule de ses flanc pour la tuer, mais elle les sentit brûler, le démon n’avait pas finit de s’amuser et elle allait en subir les conséquences, elle espéra alors perdre connaissance et, ainsi, ne plus souffrir, mais même ça, Red ne voulait lui accorder, elle se reçu un direct du gauche dans la mâchoire.

Mais le plus dur n’était pas encore arrivée, le Devil avait déjà sa dague en main, tel la faucheuse brandissant sa faux, il découpa la chair de la main droite de la jeune Hebi avant de partir, ce qui lui arracha un nouveau hurlement de douleur. Il lui avait alors laissé quelques secondes de répits, elle tenta alors d’user de la magie blanche, au moins sur sa main, pour ensuite tenter de faire aller l’aura bleutée sur l’ensemble de son corps…En vain ! Même sur sa main, l’aura n’apparut pas, ses larmes redoublèrent, elle aurait voulut appeler à l’aide, mais voyait ce traitement comme une sorte de punition pour avoir trahi Zen, elle ne tenta alors même pas de l’appeler à l’aide.

Le démon était de retour, dans la main, quelque chose qui intrigua pas mal Haruki : du sel, elle en ignorait les propriétés qu’il pouvait avoir sur les blessures, elle le découvrit bien assez tôt, hurlant à la mort à un tel point qu’elle crut que sa voix allait disparaitre. Red avait alors décidé de lui perforer le poignet avant d’arracher le carré de chair de sa main, de le brûler et de le manger sous les gémissement de douleurs de son invitée et, une fois de plus, il semblait ne pas vouloir lui faire connaître la douceur de la mort, ce doux repos éternel, la fin de sa souffrance, non, il lui fit un garrot avant de lui transpercer le ventre de sa dague, arrachant à la nécromancienne un long gémissement de douleur. A ce moment, elle put trouver suffisamment de concentration pour sentir l’âme de son fils un millième de seconde à peine, son âme était liée à celle de sa mère, elle ignorait si son corps était encore ou non intacte, mais son âme l’était, elle pourrait donc le ramener ou, au pire, Iota Bêta Keréa le ferait car il savait que sans l’enfant, il ne pouvait renaître complètement.

La jeune Hebi hurla alors, son ventre brûlait de l’intérieure, de la fumée s’en échappait d’ailleurs, le démon lui transperça alors la cuisse de ses griffes, mais elle le sentit à peine tant la douleur à son ventre était immense, elle avait d’ailleurs à peine remarqué que le sel ne lui arrachait plus la main d’une douleur sans nom. Elle avait le souffle coupé, elle rassembla alors ses dernières forces et demanda :

"Pour...Quoi ?"

Sa voix était faible, à peine audible, pourtant, elle savait que le Devil l'avait entendue. Elle se mit alors à espérer que Zen vienne la sauver, comme il l'avait fait plus d'une fois par la passé, mais elle l'avait trahi, les chances qu'il vienne étaient faible, très faible, si faible que les larmes d'Haruki redoublèrent, elle savait qu'elle l'avait perdu.

"Zen...Zen..."

Elle continua plusieurs secondes à murmurer le nom de celui qu'elle aimait entre deux gémissement de douleur, entre deux pleurs, comme pour se donner du courage, en vain, la réalité la rattrapait à chaque fois qu'elle prononça son nom.

"Mon...ange..."

Alors que les cris redoublais et ainsi que ses pitoyables gémissement, qui procurer toute fois des souvenirs agréables au démon, et lui conférais un sourire identique a celui de la nuit dernière. il fut perturbé par des tambourinements sur la porte d'entré sa chambre des gens criants de baisser le son de la télé. L'idiotie de ces voisinslui avait donné une idée, il sortie de la chambre, attrapa une télécommande multifonction et activa son lecteur-DVD, dans le qu'elle il y avait un film d'horreur, et mis ses emplies a fond, sans doute il allait récolter une amende mais rien d'autre...
Il sortie d'une boite a chaussure un aiguille et du fil, un fil ultra résistant quasis indestructible avec les qu'elle on péchais de grosse prisse, très grosse prisse. Elle alla voir sa victimes après ses quelques secondes de répits et lui planta l'aiguille, a la quelle était accrochée le fin fil dans le début de sa lèvre a l'extrême droite, et lui cousue les lèvres pour enfin la faire taire, il lui cousue si serait la les lèvre que même un filé d'air ne pouvait passer.

Red une fois le travaille de couturier fini la regarda, mais elle fermer les yeux, comme si ses paupière était comprimé par la douleur. Une autre idée lui passa alors par la tête. Il l'obligerait a le regarder... Le démon lui plaqua sa main gauche sur le front prit sa dague qui était planter dans le ventre d'Haruki et doucement lui découpa les paupière de de yeux avant de les arracher. D'ailleurs il s'amusa a éclater un verre qui venait de prendre dans sa cuisine et de le redire en fine poussière de verre trop petit pour crever le yeux d'Haruki mais assez coupant pour la faire souffrir atrocement, il lui déposa sur la rétine, elle qui ne pouvait plus ligner des yeux. Ses yeux commencer d'ailleurs a s'injecter de sang tous doucement rendant la souffrance lente et progressive. Il la regarda et lui trouva une ressemblance avec DeadPool dans le film X-men Origine.

"Maintenant tu vas pourvoir bien me regarder, quoi que ta vision dois être caché un peu par le sang"

Le démon regarda encore une fois de la victime et s'arrêta au niveau de la poitrine l'effleurant de la main, il dit a étouffant un rire.

"sa serait dommage d'endommager cette partie la !"

Il admira encore son œuvre inachevé, et se demander si une mâchoire inférieur tenait si bien que sa.

En entendant tambouriner de l'autre côté de la porte, la nécromancienne eut une lueur d'espoir dans les yeux, mais elle ne dura qu'un instant, Red avait trouvé une parade aux plaintes...Elle le vit alors partir quelques instant, elle put alors apercevoir, oublié sur le sol, dans un coin dans l'ombre de la pièce, le collier qu'elle avait hérité de sa mère, elle l'avait presque oublié le matin, mais elle fit comme si de rien était, son bourreau avait alors trouvé du fil et une aiguille, elle aurait voulut se défendre, mais en était incapable, elle se retrouva alors les lèvres cousues l'une à l'autre. Sous l'effet de la douleur, elle ne put s'empêcher de fermer les yeux, la main du démon était alors contre son front, la dague de son ventre fut extirpée et servit à découper les paupières de la jeune Hebi donc les yeux ne cessaient de pleurer, la douleur était atroce, on pouvait d'ailleurs le voir dans ses yeux, seul moyen qui lui restait pour l'exprimer. Elle se retrouva peu de temps après avec une sorte de poussière dans les yeux, ces derniers étaient injectés de sang, à la voir, quasi n'importe qui l'aurait prise en pitié, la seule personne qui ne réagissait pas à sa vue était le Devil qui semblait s'amuser. A priori il ne comptait pas l'attaquer au niveau de sa poitrine, mais ça ne la rassura pas pour autant, la douleur ressentie à présent était si grande que l'on ne pouvait pas l'augmenter, du moins, c'était ce qu'elle pensait.

Haruki tenta alors de se concentrer, Red ne comptait pas la faire mourir, Iota Bêta Keréa n'aurait rien put faire et, pour son fils, elle ne pouvait se résoudre à déplacer son âme, de peur de perdre celle de l'un des deux êtres qui lui étaient si précieux. Elle bougea très légèrement la tête, le Devil n'avait pas aperçu son collier, c'était son unique chance, il disparut dans son ombre, apparaissant face à Zen, dans son ombre. La nécromancienne ne voulait pas vraiment au début que celui qu'elle aimait vienne la sauver, elle était encore hésitante un peu avant, mais actuellement, elle était certaine que, si il voyait son collier, il comprendrait qu'elle avait besoin de lui, qu'elle était en danger, qu'elle l'appelait à l'aide. Elle pensa alors aux autres personnes qui pourraient potentiellement l'aider, au point où elle en était, elle aurait même été capable d'appeler les Gardiens, mais elle ne fit rien, elle n'aurait rien pu faire, elle repensa alors aux Hebis, elle n'avait aucun moyen de contacter Soruka, Kyo et Kyousuke, il ne lui restait alors qu'Exidiya, elle pourrait peut être aussi essayer de contacter Morphéa, sachant qu'Haruki était l'amie de sa mère, elle pourrait appeler cette dernière.

*Mor...Phéa...Exi...Diya...Zen...Au...Se...Cours...Red...*

Sa concentration fut alors coupée, elle espéra de toute son âme qu'au moins une des dragonne avait entendu son message et que Zen avait vu le collier, elle tenta de garder les yeux fixés vers le Devil, il voulait qu'elle le regarde, elle le regarderait, après tout, elle ne pouvait y échapper et puis, ça pourrait lui permettre de se préparer mentalement à la prochaine torture en cas de besoin ce qui pourrait peut être en atténuer la douleur.

Elle était pas mal abimée la poupée, pouvait-il encore joué longtemps avec? Haruki était incroyablement résistante, beaucoup plus qu'un humaine ordinaire, mais pas encore assez pour qu'il puisse finaliser dans les détails. Il allait donc s'attaquer a une partie d'elle, qui n'était que fissuré mais pas encore détruite, il fallait la détruire complétement et dans les moindre replie de sont âmes, pour que l'art finisse son œuvre et crée l'harmonie à partir du chaos. Il posa sa main droite sur le front de sa victime, et l'autre poser sur le dos de sa main. une lueur noir du a la folie commença a se diffuser de ses mains a son cerveau. L'avant dernière sentence commençait alors, sont corps était détruit et il garder ces touches finales pour l'apothéose.

"L'expérience de la mort"

Les ténèbres l'enrobait, seule la douleurs qu'elle ressentait après les coup lui rappelait ou elle était. D'un coup saisi d'un violent mal de crane, Haruki reprit connaissance Où suis- je pensa t-elle, autour d'elle c'était l'obscurité. Elle se trouvait dans une cave, profonde et silencieuse.
Elle était étendue sur le dos, les bras le long du corps. Encore engourdie par la douleur, elle tenta de bouger les reste de muscle qui lui obéissais encore. Magnifique ! ses muscle lui obéissaient de nouveau.
Que ce passé t'il ? A l'exception de sa de ses blessure qui lui tiraillé le corps et de l'obscurité épaisse, tout lui paraissait à peu près normal. Enfin presque. Elle était couché sur une surface dure et étonnamment lisse, comme un plaque de verre. Plus étrange encore, elle sentait ce contact froid partout dans sur sa peau, ses épaules, son dos, ses fesses, ses cuisses, ses mollets. Elle était nue. Haruki voulut écarter les bras mais elle rencontra deux parois. Lentement, la vérité lui apparut. Elle n'était pas dans un pièce mais dans une boîte ! La terreur enfla, un poids écrasant, intolérable. Doucement un liquide brulant coulait dans cette boite qui lui fessait pensé de plus en plus a un cercueil. Le liquide commençait a ses répandre doucement en brulant toutes les parties de son corps jusqu'à la bruler au 3 degrés, doucement, tous doucement. L'eau qui gargouillait autour la jeune femme était incroyablement brulante... Elle remplissait le caisson sur plus de vingt centimètre et commencerait déjà a recouvrir son ventre. Quand elle vit l'horrible liquide se rependre déjà sur la cage thoracique lui tirant un cries de douleur, elle comprit qu'elle n'en avait plus pour longtemps. La peur de la mort commençait a se faire ressentir, et la peur emplissait ses yeux bientôt ébouillantés. Dans un acte de panique elle tenta de frapper contre les parois. L'eau grignotait alors ses dernières centimètres cubes d'air, bien que le corps ravager de spasme d'horrible douleur elle renversa la tête en arrière pour garder les lèvres au dessus de l'eau. Sitôt le "cercueil" remplie, de l'eau s'engouffra dans sa gorge, Par réflexe elle prit une dernière inspiration, du dernier filet d'air et ferma la bouche. Un instant plus tard le caisson était remplie entièrement. Même si elle pouvait retenir sa respiration assez longtemps, elle sentait déjà les effets du manque d'oxygène dans son corps. Le dioxyde de carbone s'accumulait dans son sangs. Tous ses voyants internes passaient au rouge, réveillant son instinct de survie l'envie de respirer devenait chaque seconde de plus en plus irrésistible. Elle approchait du point de rupture. Ce moment ou l'ont ne peu plus lutter contre le réflexe. Ses muscles était en feu, premiers signes de l'hypoxie. Dans ce caisson obscur, noyée Haruki vivait ses dernier instant. Comme une délivrance, le point de rupture arriva. ses poumons expulsèrent leurs air vicié, se comprimant pour l'inspiration.
Le réflexe contre la raison.
Sa bouche s'ouvrit.
Ses poumons aussi.
Et le liquide entra en elle.
La douleurs dans sa poitrine fut plus vive qu'elle ne le supposait. Le liquide emplit ses poumons, comme de la lave. Un violent éclair lui traversa le crane. Elle avait l'impression que sa tête était écrasée dans un étau. Un bourdonnement assourdissant retentit dans ses oreilles.
Et, derrières les hurlement de Zen.
Puis un grand flash de lumière
Puis les ténèbres.
Et ce fut la fin.

Une fois atteint par sainte mort elle eût en dernier cadeau droit a la dernière vision de sa vie passait. Elle se revue enfant bercer d'amour, Haruki emplie d'une joie immense, comblée. Et lors de ses six ans tous se passa si vite, un dispute entre ses deux parents, elle perdit connaissance , et a son réveille découvre le cadavre de ses deux parents, taillé en pièce par un couteaux qu'elle avait dans la main droite au réveille. La jeune meurtrière fut battue par les habitant de son village quand ils découvrirent le meurtre, haïe et traitée comme une bête. Elle fut recueillie par un riche duc, qui l'utilisa comme esclave le jour, et pour assouvir ses plus bas fantasme la nuit. Aux jours de ses quatorze printemps, elle le tua, empoisonné pendant l'un de ses repas. elle errât pendant 2 ans comme une pauvrette dans plusieurs petite ville, jusqu'à arrivé a Tomodachi. Elle rencontra la bas, un homme son unique ami et amant, un homme dénommé Zen, elle lui donna tout, et lui offrit même un enfant. A la naissance du bébé, Zen tua l'enfant, perdue dans une infinités de tristesse et de haine. Haruki essaya de se venger, en-vain. Zen lui fit alors subir une torture physique horrible. Dans ses souvenir la torture qu'il lui fessait subir était celle que lui fessait subir dans la réalité Red. Et ainsi la réalité et le cauchemars s'entre choquait.

"The sight of hell"

Dans la réalité le démon avec un sourire satisfait, contemplé la jeune femme pleurer sous la torture de l'illusion de sa mort, et celle de ses faux souvenir.

La mort. Elle s'était toujours demandé ce que ça représentait vraiment, étant nécromancienne, elle avait souvent côtoyé des personnes de l'autre monde, mais jamais leurs définition de la mort n'était semblables entre elles, c'était comme discerner le bien du mal, chacun avait sa propre définition. On lui avait souvent dis que l'on voyait sa vie défiler devant ses yeux avant de mourir, elle revit alors ses premières années de vie, les plus joyeuses qu'elle avait connues, les seules sans doute, jusqu'à ce jour fatidique où tout avait changé et tout ce qui suivit. Elle ne ressentit plus alors l'âme de son fils, comme si il n'existait plus, mais elle ne le chercha même pas, pour elle, il était né, il avait vécu à peine quelque minutes avant d'être tué par l'homme qu'elle aimait. Zen. Elle l'avait tant aimé, elle l'aimait toujours, et lui, trouvait amusant de la tuer ! Elle ressentit alors une profonde haine à son égard, mais l'amour qu'elle ressentait persistait néanmoins, pouvait-on ressentir ses deux sentiments qui lui paraissaient si opposés envers la même personne ? Elle en avait maintenant la réponse.

Elle repensa un instant au duc qui se servait d'elle comme d'une esclave ou comme d'une sorte de poupée prête à obéir au moindre de ses désirs, il avait aussi été très cruel avec elle, mais il y avait pire, il y avait Zen. Il l'avait rendue si heureuse, elle avait retrouvé la joie de vivre qu'elle avait perdu à ses six ans, elle avait réussi à sourire à nouveau comme jamais depuis de longues et douloureuses années, elle était épanouie à l'époque, bien que tant ces évènements étaient ressent, la dite époque ne pouvait pas vraiment porter ce nom. Dans son esprit repassa la scène en boucle, elle était à l'hôpital, elle venait de donner naissance à son fils, elle le tenait dans ses bras, il s'était endormi paisiblement, on aurait cru voir un petit ange. Zen était à ces côtés, bien qu'il ne souriait pas vraiment, il avait alors prit l'enfant, son propre fils, dans ses bras, l'observant comme si c'était un étranger, comme si ce n'était pas vraiment son fils.

"Tu crois vraiment qu'on a besoin de ÇA !"

Haruki fut horrifiée par les paroles de Zen, il la fixa alors droit dans les yeux, le regard sombre, le sourire de la nécromancienne avait disparut, elle avait une étrange lueur dans le regard, un peu comme de la peur, elle questionna alors celui qu'elle aimait du regard.

"Tu lui trouve une quelconque utilité ? Il n'en a aucune ! Je ne te suffis pas peut être ? Et alors ? De toute façon tu reste juste une gamine insignifiante, non ? Une sale petite trainée qui ne peut rien faire d'autre que geindre ! Tu devrais chercher ton utilité avant de chercher la sienne !"

Il avait alors transpercé l'enfant de son katana, aussi facilement que l'on transperçait une pomme, un sourire satisfait marqué sur ses lèvres. Le corps du bébé tomba alors lourdement sur le sol, il s'approcha d'Haruki, paralysée, incapable du moindre mot, du moindre geste. Zen s'était approché d'elle, tenant son visage entre ses mains, l'air satisfait ne quitta pas son visage.

"C'est dommage, un si joli jouet que je vais être obligé de casser, mais ne t'en fais pas, tu es loin d'être la première et tu ne seras sans doute pas la dernière non plus !"

Elle revit alors la fin de sa vie, puis la réalité revint, ou du moins, sa réalité, ce qu'elle croyait être réel. Elle vit une ombre. Un visage. Une expression affiché sur ce dernier. Elle vit Zen. Ses yeux injectés de sang ne lui permettaient pas de bien voir l'homme, mais au vu de tout ce que celui qu'il avait tant aimé lui avait fait subir, elle était certaine que c'était lui, ses yeux se remirent alors à pleurer, les morceaux de verres dans ses derniers bougèrent, mais elle ne sentit rien, la douleur physique que cela pouvait engendrer n'était rien face à la torture morale qu'elle subissait. Elle crut pendant un moment avoir l'impression de sentir l'âme de son fils, dans la réalité, elle était toujours liée à son âme, rien n'avait changé, comme à chaque difficulté, elle avait donc sentit l'âme du foetus, mais dans sa réalité, il ne vivait plus, il avait même quitté le stade du foetus pour naitre et être un enfant qu'elle avait pu porter quelques instants dans ses bras, elle refusa alors d'admettre l'avoir ressentit, pensant à une illusion.

Elle tourna la tête vers Zen, pleurant toujours, elle voulait lui demander pourquoi, l'implorer de l'aider, mais sa bouche était cousue, seuls ses yeux pouvaient poser ses questions muettes, les seules choses qui la rattachaient à la vie lors qu'elle était au plus mal : Zen et son fils, n'étaient plus, ou du moins, n'étaient plus ce qu'elles étaient. Elle n'espéra plus rien, même pas qu'il la sauve, même pas de mourir, elle savait qu'il ne lui ferait pas de cadeau, qu'il ne lui en ferait plus, même pas si c'était pour lui arracher. De ses yeux on pouvait ressentir le désespoir, même si elle l'aurait encore pu physiquement, elle savait que, moralement, elle ne saurait plus sourire. Elle attendait. Elle attendait un demain qui jamais n'arriverait. Elle attendait que jamais le jour ne se lève à nouveau. Elle attendait la nuit éternelle. Elle attendait que Zen soit lassé de son jouet. Elle attendait qu'il ait envie d'en trouver un nouveau. Elle attendait la mort dans le désespoir le plus profond que l'on puisse imaginer.

Red admira son œuvre achevé. Haruki était détruite, aussi bien physiquement que moralement. Ses yeux emplies de tristesse et de souffrance. Elle venait d'avoir une aperçue de l'infinie potentiel de cruauté Humaine. Un avant-gout de l'enfer qu'est la terre habité par les Homme. Le démon lui caressa doucement les lèvres et la regarda d'un regard amoureux.

"Tu voie, tout n'est pas fini je t'ai donner une autre vision des choses."

Il avait un peu de tendresse pour elle maintenant vus son état physique. Pour lui elle était devenue une œuvre d'art. L'assassin souleva doucement le haut du corps de sa victimes et lui tailla profondément dans la chaire entres l'omoplate droite et la colonne vertébrale le chiffre romain 3. Au si brutalement qu'il vu le symbole complet et que le sang gicla encore sur les draps il la lâcha.

"Malédiction originelle"

Dans le désir de laisser des marque de cette journée, il posa ses doigts sur les tempes de sa victime et se concentra. Une lueur violacé commença a émané de ses doigts. Tout les appareilles électroniques de l'appartement se déréglées, l'image du téléviseur dans le salon commença a se brouiller de plus en plus. Le son qui sortait des Home-Cinéma grésillait eux aussi de plus en plus fort. Le son devient alors strident et désagréable. Les yeux d'Haruki commençait a trembler et au final se dilata entièrement. Son ouïe commença a bourdonner réellement fort, et son touchais ainsi que sont gout se dérégla. Réellement Red envoyé massivement des ondes électriques directement dans le cerveau d'Haruki (et si elle en as un), plus particulièrement dans la zone qui dirigeait les sens, et encore plus profondément celle qui dirigé les nerf qui provoqué le sens du touchait. La lueur disparut et tous ces sens revint au normal. A l'exception du touché, la ou la magie avait lieu d'être était que la seule sensation du touché qui lui rester était la douleur. Jamais elle ne sen-remettrais, de plus le Démon lui avais imposé, deux des sept péchés capitaux. La colère ainsi que l'envie. Du moins il ne sen rendrais pas compte aujourd'hui il fallait que la graine du péchés fleurisse en elle.

"Jamais sa ne sera fini pour toi... La véritable torture commencera dehors pour toi."

Red posa sa main gauche sur le front de sa victime pour l'empêchait de bouger, il soulevât sa main droite comme un marteau et lui colla un direct du droit si violent qui lui brisa les dent de devant, dans le seule but de pouvoir passer ses doigts dans la bouche. Il s'exécuta alors. Il mit ses doigts a l'intérieur sa bouche tirant tellement sur les fils qu'il avait cousue que les lèvres inférieur et supérieur d'Haruki commençaient a saigner de plus en plus.
une fois qu'il mit les quatre doigts de sa main droite, à part le pouce, dans la bouche de la jeune femme, il mit un genou sur le lit, l'autre sur le torse de la jeune femme, écrasant sa poitrine. Il tira sa mâchoire inférieur avec une telle force colossale, qu'il lui arracha littéralement. La mâchoire inférieur de la victime dans la main, il l'admira les trainés de sang qui parti de la tête de sa victimes a sa main.
On ne pouvait plus décrire sa comme un visage. Des lambeaux de chaire couronnait la ou il y avait anciennement un sa mâchoire inférieur. Mais aussi sa lèvre supérieur complétement déchiqueté de toute par les fils cousue de la main bourreau. Dans le seule but de la dévisager, il posa la mâchoire inférieure de la jeune femme sur son visage. Ces yeux contre ces dents éclaté, et frappa de toute ses forces dessus, histoire de bien lui greffés ses dents sur le visage. Il regarda alors la seule partie de son corps qu'il n'avait pas jugé bon d'abimé, sa poitrine, et l'empoigna de pleine main.

"Tu voie la, je sens tout de suite qu'il aura moins de plaisir a te le faire sa Zen."

Il arrêta alors de caressais la poitrine de la jeune femme et conclue.

"Tu n'oublieras pas a de dire à Zen la superbe nuit qu'on a passé, et mon superbe romantisme en pleine mâtiné ?"

Enfin, il laissa comme telle sa victime, avant de mettre le feu a l'aide d'allumette a son lit. Feu qui commencé a s'étendre a toute sa chambre, qui allait alors bientôt bruler tout l'appartement. Il ne prit qu'un chéquier et une fausse pièce d'identité avant de partir ainsi qu'un petit coffret qui lui était précieux. Il partie alors par la fenêtre laissant sa victime ainsi. Se réfugiant dans un lieu sur qu'il aurait déjà atteint a l'arrivait des sauveteur de la demoiselle en détresse, ou plutôt du lambeau de chaire en détresse.
Un lieu entièrement immunisait a la magie, protégé par des relique acquis au marché noir. La ou toute personne qui voudrait se vengé devrais se battre sans magie. Le manoir en ruine ou il lui avait déjà torturé.

Haruki avait alors vu "Zen" avec un regard qu'elle lui connaissait à l'origine et qu'il n'avait plus affiché depuis un jour qui se situait à la veille de la première étape de la torture. Pourquoi ? La même question qui tourna sans cesse dans son esprit. Pourquoi si il l'aimait il s'amusait à la faire souffrir ? Pourquoi si il l'aimait il avait tué leur fils ? Pourquoi est qu'il l'aimait après tout ce qu'il lui avait dis ? Tout était contradictoire ! La nécromancienne était perdue, son bourreau avait alors décidé de marquer sa victime, comme on marquait un morceau de viande à la boucherie, était-elle donc ça pour "Zen" ? Elle l'ignorait. Jamais avant elle n'avait eu cette impression, c'était comme si il y avait deux Zen, le premier, celui qu'elle avait aimé et celui-ci qui n'y voyait qu'un jouet.

Par la suite, elle perdit ses sens, son corps ne ressentait plus les doigts du Devil ni le tissus des draps du lit, elle ne voyait plus, ne pouvait plus humer aucune odeur, ne ressentait plus les saveurs, n'entendait plus le moindre son, elle eut à cet instant peur : allait-elle un corps dénué de tout sens ? Elle entendit alors des bourdonnement, son ouïe était revenue. Elle aurait pu à nouveau ressentir les saveur, son gout était revenu. Elle sentit l'odeur du sang, son odorat était revenue. Elle revit le visage de "Zen", sa vue était revenue. Son bourreau avait posé sa main gauche sur son front, elle ne le ressentit même pas, seul ses yeux pouvaient témoigner de ce qu'il avait fais.

La jeune Hebi avait à peine sentit quand "Zen" avait commencer à lui entrouvrir la bouche, elle ne le sentit vraiment que quand sa mâchoire fut arrachée. La douleur. Elle la sentait encore. Elle la sentirait toujours. C'était la seule chose qu'il lui avait laissé : la possibilité de souffrir. Ce qu'il fit après l'effleura à peine, elle ne le sentait pas, ça lui était égal, mais ses paroles l'intriguèrent, il parlait de Zen..."Zen" parlait de lui-même ? Ou alors y avait-il deux Zen(s) ? Elle l'ignorait.

Il mit alors le feu, tout brûla, Haruki ne chercha même pas à éviter les flammes, elle ne le pouvait pas de toute manière, elle était paralysée par les quatre dagues et incapable d'appeler à l'aide. Elle crut un instant ressentir une âme, faible, très faible, elle la connaissait, elle était liée à la sienne. Qui était-ce ? Elle pensa un instant à son fils, l'image de Zen le tuant lui revint en tête, ses paroles aussi. Elle repensa alors aux paroles de "Zen", il y aurait pu y avoir deux Zen(s) : celui qu'elle aimait et son bourreau. Lequel avait fait quoi ? Elle l'ignorait. L'âme se fit à nouveau ressentir, elle lui sembla importante, elle se concentra alors malgré les flammes qui commençaient déjà à la dévorer.

*Zen...Aide-moi...S'il te plait...*

De lourdes larmes continuèrent à couler de ses yeux, mais elle ne les sentit pas, les larmes n'étaient pas une douleur physique. Elle tenta de rejoindre le corps de la fillette qu'elle avait rejoins quand Terrence avait tenté de la tuer, mais sa concentration ne fut pas suffisante, elle perdit connaissance, bien que ses yeux restaient ouverts, ses paupières trainaient sans doute sur le sol.

[HRPG : Je pense qu'on peut retirer le "[Privée Haruki] <------ seulement pour durée déterminée" du titre à présent ^^]

Exidiya apparut dans l'appartement en flamme, elle avait quelques minutes plus tôt ressentit un appel à l'aide de Haruki. Elle la trouva, sans voir vraiment, et d'un coup elle se retrouvèrent toutes les deux en lieu sur, juste sur le trottoir devant l'ex propriété de Red...
Elle réalisa que l'âme de Haruki et celle de son fils étaient devenu très faibles, elle posa alors sa main sur la joue de la nécromancienne et réalisa qu'elle était très grièvement blessée. A ce moment le sang de la dragonne ne fit qu'un tour, elle lançât des bénédictions de régénération à la jeune femme et d'un air déterminé et furieux elle demanda:

«-Qui t'a fait ça? Dis le vite! Je ne le laisserais pas partir en t'ayant fait souffrir autant...»

Elle ne l'espérait plus, elle avait presque abandonné l'espoir, mais son amie l'avait sauvée, elle tenta alors de se relever, manquant de tomber à de nombreuses reprises dû à la perte de son toucher.

"Exi...Diya...Mer...Ci..."

Elle avait encore dû mal à parler et à rester debout, de même que sa vue était encore brouillée.

"C'était...Un deuxième...Zen...Un...Méchant...Mais...Pas...Le vrai...Zen...Mon...Esprit...A été...Brouillé...Par...Le faux...Zen..."

Elle manqua à nouveau de tomber et se rattrapa de justesse à un mur, elle parut alors effrayée et ôta immédiatement sa main.

"Je veux voir Zen...Le vrai...Je...Je...Je...J'ai l'impression de l'avoir trahi...Zen..."

Elle se mit alors à pleurer.

"Je...Je veux Zen...Je veux être près de lui...Je veux qu'il soit là...Exidiya...J'ai peur..."

La dragonne se concentra pour éviter de trop se mettre en colère. Elle chercha rapidement l'âme de Zen, ce n'était pas difficile, elle avait du travailler dessus pendant quelques minutes... Puis d'un coup on pu ressentir sa présence, et enfin voir son corps...

«-Tu es sure que ce n'est pas lui qui t'avait fait ça? Parceque si c'est le cas il va pas rester là bien gentiment.»

On pouvait ressentir la rage de la biomancienne, de plus elle ressentit qu'une magie avait marqué la jeune fille, et elle ne pouvait pas la retirer.

«-Haruki, c'est quoi cette marque dans ton dos?»

Dans la rue les passants semblaient choqués, en même temps qui ne le serait pas en voyant une femme avec des vêtements brûlés, et donc presque complètement nue, mais en plus de ça sa machoire n'avait pas finie de redevenir normale, il n'y avait que l'os pour le moment...

Zen fut alors téléporté au prêt d'Exidiya et d'Haruki, cette dernière semblait être dans un sale état.
Il sentit alors son cœur battre d'avantage, ainsi qu'une boule au ventre. Il tremblota légèrement et rugit alors.

"Qu'est ce que signifie !! Qui l'a mise dans cet état !!!"

Il courra alors vers Haruki et se pencha vers elle.

"Haruki !! Haruki !! Qui t'as fais ça ??? Dis le moi...?"

Puis sans lui laisser le temps de répondre, il tourna la tête vers Exidiya et rugit de nouveau.

"Dis moi c'est qui, que je lui ôte la vie !!"

La rage envahissait de plus en plus Zen, qui n'allait certainement pas rester de marbre face à cela, quelqu'un avait mit Haruki dans un état si pitoyable, elle avait été salie, souillée, amochée, jamais il ne pourrai laisser passer ça. L'auteur de cette acte allait recevoir un traitement bien pire, Zen se le jura.

"QUI EST CET ENFOIRE QUE JE LUI FASSE LA PEAU !!!!"

Haruki leva à peine les yeux vers Zen, elle regarda tout d'abord son amie.

"C'est...C'est pas Zen...C'est...Un démon...Et cette marque...C'est...C'est lui..."

Elle voulut alors tourner la tête vers Zen, la penchant, évitant à tout prix de croiser son regard, elle avait comme l'impression de l'avoir trahi, et cette impression ne semblait pas vouloir la quitter de si tôt.

"Je...Par...Don...Ce...C'est...C'est ma faute...Dé...So...Lée...J'aurais du...Faire plus attention..."

Ses larmes redoublèrent alors, certaines images lui revinrent en tête, elle manqua de tomber, chercha à se rattraper à un lampadaire, mais sa main glissa le long de se dernier, comme si elle ne savait pas s'y agripper, elle tomba alors à genou.

"Par...Don...Zen...Je..."

Elle eut alors un nouveau flash de ce qui s'était passé pendant la nuit, semblable aux précédents, mais elle vit clairement le visage de celui qui lui avait fait subir cette journée en enfer.

"Red !"

Elle regarda alors le sceau des Hebis sur le dos de sa main, le serpent ne semblait pas réagir, il était toujours intacte.

"Pour...Pourquoi il ne m'arrache pas le coeur ? Pour...Pourquoi ? Je...Je l'ai pas voulut...Je...Je t'ai trahi...Je...Je crois...Par...Pardon Zen !"

Elle leva un instant les yeux vers Zen, croisant son regard à peine une seconde, cette unique seconde lui suffit à utiliser la pupille de Flamme et à lui faire voir tout ce qu'elle avait subit, réalité comme illusion, elle pencha à nouveau la tête, ses larmes redoublèrent, elle n'avait pas pu expliquer directement à celui qu'il aimait ce qu'il s'était passé, elle n'en avait pas le courage, elle se sentait honteuse surtout. Elle sentit que ses organes brûlés étaient recomposés, elle détacha alors son âme et celle de son fils, remettant celle de ce dernier dans son propre corps, niché dans celui de sa mère. Le reste de son corps était presque entièrement revenu à son état d'origine, une fine peau reformait déjà sa mâchoire, les seules traces restantes furent le chiffre trois en caractère latin écris dans son dos et la perte de son sens du toucher.

"Pardon Zen...J'voulais pas...Vraiment...J'l'ai jamais voulut...Je suis désolée..."

Haruki avait posé sa main contre son ventre, l'entourant d'une aura bleutée, mais on pouvait voir qu'elle avait comme peur et que sa main effleurait à peine son ventre, elle tourna alors la tête vers Vp, elle savait que la ninja avait subit à peu près la même chose qu'elle, mais alors que la nécromancienne avait eu une privation du toucher, Vp avait eu une privation de la vue.

"Tu crois...Qu'il y en aura encore trois ? Tu crois...Qu'il y en aura encore trois qui vont devoir subir ça ?"

Elle pencha à nouveau la tête avant d'achever :

"Ta vue était bien le sens dont tu avais le plus besoin, non ? Tu crois qu'il y en a encore trois qui vont perdre un de leurs sens...Qui vont être estropiée du sens qui leur est le plus important...Dont elles ont le plus besoin..."

Elle fixa alors la ninja.

"Tu as sa marque toi aussi, Freya ?"

[HRPG : Vp...Ton nombre de message %) ...Enfin voila quoi XD]

" Je ne sais pas combien il va encore y en avoir... pour moi c'était une vengeance... je l'avais tué lors de l'arrivé de Rubis. Il a pas apprécié. Je pensais..."

Elle déglutit difficilement, une boule dans la gorge.

" Je pensais qu'il n'y aurait que moi. Mais s'il a un but... il y a de forte chance pour qu'il continu..."

Vp s'agenouilla devant Haruki, elle aussi commençait à se sentir mal rien qu'en repensant à ce jour fatidique. Doucement, elle ramena ses long cheveux soyeux sur son épaule, laissant à découvert sa nuque où un "II" trônait fièrement.

" Comme tu peux le voir je l'ai aussi." Dit elle en se tournant légèrement pour qu'Haruki puisse voir la marque.
La ninja respira une grande goulée d'air, des flash lui traversaient l'esprit, et elle se souvenait surtout de la honte qu'elle avait ressentit. Celle de s'être fait avoir comme une débutante et d'être infirme. Dépendante des autres. A cause de ça elle était restée enfermé pendant de longues semaines chez elle. Elle n'avait jamais rien raconté à personne, sauf à Flamme.

Zen écouta pas vraiment les deux femmes, il n'arrivait pas à se concentrer, non en ce moment il avait juste la haine, une haine incommensurable envers ce Red, il voulait tellement lui mettre la main dessus, et l'étriper, lui faire comprendre la haine qu'il a en lui, et le tuer dans d'atroce circonstance.

"J'EN AI RIEN A CIRER DE CES FOUTUES HISTOIRES !!!"

S'écria Zen, coupant cour la discussion entre Haruki et Vp, attirant ainsi l'attention de tous.

"Qu'on m'amène à lui, et je réglerai toutes vos souffrances en lui retirant la vie... Je le jure que je le tuerai, il mourra de mes mains, en me suppliant de l'épargner tellement je l'aurai fait souffrir."

Suites à ces mots le regard de Zen était glacial, on voyait qu'à présent il n'avait qu'une seule motivation, et cette motivation s'appelait Red.

Alors qu'elle s'apprêtait à répondre à Vp, Haruki entendu Zen hurler, elle pencha alors la tête et plissa les yeux.

"Pardon..."

Les bénédictions lancées par Exidiya avaient alors finit de faire effet, la nécromancienne le sentit, ou du moins elle ressentit qu'il n'y avait plus les bénédictions sur elle, mais elle ne sentit pas le sol, elle ne sentit pas le froid, elle ne sentait plus rien. Elle tenta alors de se relever à l'aide du mur sur le côté, mais ne sentait pas le mur, il lui fallut d'ailleurs plusieurs minutes afin d'être debout. On put alors voir une lueur d'espoir dans ses yeux, faible, très faible, elle tendit alors sa main vers Zen, doucement, très doucement, approchant de la main de se dernier, comme hésitante, elle espérait pouvoir le sentir, son coeur lui disait qu'elle le pouvait, la raison le reniait. Elle prit alors d'un coup la main de celui qu'elle aimait, l'espoir disparut d'un coup de ses yeux, elle était horrifiée, des larmes se mirent à couler de ses yeux. Le coeur avait tord, la raison avait parfaitement fait son rôle : elle ne pouvait même plus le sentir lui. En un effort désespéré, elle se jeta dans ses bras, la tête contre le torse de celui qu'elle aimait, le serrant dans ses bras, sans même le sentir, ses larmes redoublèrent. Elle ferma alors les yeux, silencieuse, c'était finit, même lui elle ne le sentirait plus jamais.

"Même pour toi...J'aurais pu supporter sans problème le fait de ne plus jamais rien sentir...Mais là...Ca le fait même avec toi...Je...Zen..."

La tête toujours appuyée contre le torse de Zen, elle rouvrit ses yeux et les leva vers lui, il lui semblait comme irréel, comme si il n'était pas là, comme si il était une illusion. Sa gorge se noua, elle ne lâcha pas celui qu'elle aimait des yeux, comme pour chercher une solution à travers ses yeux, comme pour l'appeler au secours, comme si il pouvait avoir ne serais-ce qu'une petite solution.