† Rennaissance obscure †

Sindrid venait de se reveiller dans une pièce sombre, ses mains étaient attachées a un poteau de bois.
-Hum... mon crâne... ou suis-je ?
Il regarda autour de lui, des rideaux miteux empechaient la lumière de rentré dans la pièce, il n'y avait rien qui pouvait servir d'outil pour se libérer...
-Dare tu es là ? Dare ? Tu es ou ?
Sindrid commençais à paniquer, Dare avait disparu, et il était coincer ici, il ne ressentait même pas l'aura maléfique du démon, mais une émotion flotté dans la pièce...

-Bien dormis rodeur

Cette voie était grave et froide, la silouhette s'approcha du prisonnié, tenant une seringue avec un étrange liquide, il planta la seringue dans le coup de Sindrid, le liquide s'inssinua dans le sang du rodeur... ses veines brulèrent, comme si de la lave en fusion avait remplacé son sang.

-Il est temps pour toi de redevenir ce que tu étais... Mon chère Maître!

L'homme entonna une incantation, un cercle bizzare brilla en dessous de Sindrid, la douleur était inssuportable, son corps tout entier brulait d'un brasier interne, plus l'homme plasmodié, plus Sindrid se détruisait... Il ne tarda pas à perdre connaissance dans ce chaos.
Rêve étrange... flash douloureux... des cries... du sang... du plaisir... de la souffrance... Elle... sa mort... son regard angélique... tout sont sang sur les mains du rodeur...tout noir, une autre scène... du sang encore... des griffes... puissance obscure... des paroles... des caresses... des flammes... un rire... une question. Encore une scène... du sang... le baisé de la mort... la morsure du froid... quelque chose transperce l'estomac... un cri de bébé... une douleur létal...presque. Une autre scène, tout s'enchaine, Sindrid revoit son passé, tout défilent, Dare...Sonia...ses parents...les cadavres, une montagne de cadavres... un trône au dessus de cette montagne...Dare est dessus, la tête de Sindrid dans sa main, et une coupe de sang dans l'autre... un sourire satisfait...Dare. Le temps continue son rythme au son des cris, de tout le monde...Dare souffre aussi, mais cela lui passera, bientot ce sera Sindrid qui sera emprisonné dans son propre corps, spectateur des horreurs de son frère...bientot !

Alina était assise sur les tuiles à moitié branlantes qui appartenaient au toit d'une vieille bâtisse abandonnée. Ce genre de lieu étant fréquent dans les Bas-Quartiers, l'exorciste n'avait que l'embarras du choix, mais avait quand même choisi la maison la plus haute. De là, elle observait les dernières personnes qui se dépéchaient de rentrer chez eux tout en surveillant la descente du soleil par delà l'horizon. L'exorciste soupira puis retira son gant droit et commença à masser une étrange cicatrice grise de sa main gauche. La douleur s'apaisait trop lentement au goût de la jeune fille, ce qui l'exaspera encore plus. Elle sortit une fiole au liquide vert clair et en but la moitié d'une seule traite. La douleur passa alors plus vite sans pour autant que la cicatrice disparaisse. La demoiselle s'alongea sur les tuiles en contemplant le ciel aux couleurs rouge-orangé du crépuscule.

Finalement elle ferma les yeux, et tenta d'oublier ce souvenir douloureux. Celui dans lequel, Amon avait montré son vrai visage prenant presque totalement le contrôle de son Maître. Ce fut effrayant. Alors que l'aube s'était levé avec une douceur extrême, les quatre sous-chefs de la société secréte Sapientes Gladio avaient tous hurlé à intervalle à s'en époumoner. Ils avaient reçu le chatiment qui leur était dû, car ils l'avaient mérité. Un prisonnier s'était échappé de la prison de Damaskuiva qui était connu autrefois pour être le tombeau de ses détenus. Tout ça à cause de deux petites fouineuses qui avaient voulu le libérer. Elles avaient même failli l'identifier sans l'intervention de Nicolaï. La sentence fut sans appel.

Alina rouvrit les yeux et resta immobile, toujours alongée les bras en croix. Ses yeux regardait le ciel sans le voir. Elle était revenu la veille à Tomodachi aprés avoir passé prés d'un mois au QG et ce retour était des plus amers. Elle ignorait si elle pourrait retrouver ce caractère hypocrite qu'elle affichait devant Myra. Elle espérait ne pas la revoir avant un long moment, le temps que ses cicatrices aussi bien physiques qu'émotionnelles disparaissent. C'est pourquoi elle préférait se réfugier dans les Bas-Quartiers, vu que c'était l'un des rares endroits où les chances de la croiser étaient les plus minces. La solitude était son meilleur refuge, mais pour combien de temps?

Un homme encapuchonné marché dans les rues mal famer des bas quartier, poussant un espèce de chariot en bois, ou quelque chose dépasser de sous la couverture, d'ailleur un filet de sang suivait la course du chariot. L'homme faisait attention à ne pas être vue, rasant les murs, évitant les derniers éclats du soleil, l'homme disparu dans les allées miteuse. Le bruit des roues huilée résonna longuement dans les bas quartier avant de disparaitre. Un cris résonna, un cri strident, un cri de stupeur, une personne de plus venait de mourrir...
Du coté de Sindrid, tout n'était que chaos, il sentait toujours ses pensées se meler a son sang brulant qui calciné chaque parcelle de ses organes internes et muscles. Il ne pensé plus a rien, plus rien n'avait d'importance, Dare avait disparu, il ne souvenait plus des ses derniers jours, et d'ailleur il était persuader que son chère tortionnaire de cette prison funeste continué de le torturé. Quelque chose trensperça son bras, un liquide s'inssinua dans son bras... quelque chose en lui apprécia cette substance qui commencé à introduir ce corps.

-Du sang frais mon bon maître, ces offrandes ne sont pas de choix, mais il faudra vous contentez de cela, ce n'est pas ici que les gens de haute société vont venir pour vous offrirs leur vie

Une présence bien plus puissante parcourait le corps de Sindrid, sa douleur était atténué, mais la peur que cette entité ammena, fit frissonné le rodeur, malgres sa fièvre, un murmure résonna dans son crâne, des chants plasmodié par des voix spectrales, le sourire de Sonia revenait sans cesse devant ses yeux, cela l'apaisait, de voir son visage... de la croire encore vivante. Sindrid criai, la fièvre le faisait délirer et la présence démoniaque était de plus en plus pesante, il se sentit dans un état second, volant au dessus des toits des maisons du bas-quartier, son regard s'arreta sur une jeune femme sur un toit, perdus dans ses pensées. Sindrid sentit un crochet sur sa jambe, le crochet avait transpercer le tibiat et pourtant il n'y avait pas de sang, tout son corps spectrale fut attiré vers les sous sols, traversant multiple couche de sédiment et finissant sa course dans la gueulle béante dans un gouffre ténébreux...

» Une obscure lueur sur Tomodachi