Once Upon A time (Cendrillon)

Avant de commencer je rappelle ci-dessous les rôles des chacun. Ceux qui veulent s'intégrer dans l'histoire et qui n'ont pas de rôle spécifique peuvent s'adresser à notre chere Vp, qui dirige les opérations.

Vp l'inventeuse a écrit:: Les roles

La fée: Yosama
Javotte: Nila
Anastasie:Vp
La belle mère: Alina
Cendrillon: Sindrid
Le prince: Myra
Le roi: Soruka
Les serviteurs: Tous.

Are you ready ? All Right Let's go !

Il etait une fois dans un pays fort fort lointain, une famille qui vivait dans un magnifique palais. Elle était composée de quelques jeunes princesses dont la plus belle mais surtout la plus discrete se nommait Sindrid ... euh Cendrillon. Comme toute princesse qui se respecte, elle revait un jour de rencontrer l'âme soeur. Il faut dire que malgré la vie de fou que lui faisait vivre ses belles soeurs, elle avait l'esprit aveuglé par les grands contes classiques qui se terminaient tous sur cette même phrase qui en dit loin sur le futur. Vous connaissez tous : "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant" (entre nous, comme si le fait d'être une mère poule pouvait rendre heureux)

Il était une fois donc un beau prince (classique), qui galopait les cheveux au vent vers l'inconnu (et au dela >_<). Son destrier, un magnifique cheval blanc faisait voler sa crinière élegament comme si il devait lui aussi séduire les jumens de passage.

"Hiii Brr"

Ça c'etait le cheval. Son cavalier lui carressa machinalement l'encolure

"Allons Pegase.. Calme... Calme..."

Quel plaisir d'entendre un prince en action! Le noble personnage cherchait la demeure de la jeune princesse. Vous savez pourquoi ? C'est tout simple, en allant comme habituellement à la Halle aux chaussures, le personnage s'était encore trompé de chaussure, en confondant des chaussures à paillettes avec des bottes en cuir. C'est que les princes manqueraient d'intelligence ?

"Allons noble Pegase, mène moi à ma douce dulcinée que je lui offre ce merveilleux présent argenté !"

Quand on sauve l'honneur avec des rimes ...

>_< Je me suis éclatée... ^^

Un long hurlement strident retentit dans toute la baraque délabré suivit assez rapidement d’un bruit de chute. Anastasie avait hurlé en voyant le prince par sa fenêtre et avait courut dans les escaliers, manque de chance son pied se prit dans sa robe rose à fleurs et elle dévala les dit escaliers, finissant sa chute avec la grâce d’un canard unijambiste.

« MAMAN !! JAVOTE !!!!! »

La gracile créature se releva, remis ses cheveux aux couleurs…hum…original (style « j’ai eu la main lourde sur le flacon de schwarzkopf purpule kiss live color xpress ») en place- c’est à dire lâché dans le dos avec tout plein de nœuds- et courut dans la pièce voisine ou se trouvé sa belle mère tentant désespérément d’apprendre à Javote comment jouer de la flûte.

« Mére ! Javotte ! C’est le Prince !! Il est DEVANT chez nous !!! »

Cendrillon était fière de ses sols, si longtemps asticoter, elle leurs donné souvent des noms tellements ils étaient beau, on pouvait y manger par terre, mais bien sur personne n'a voulu la croire... encore perdus dans son regard en contemplant son visage, Cendrillon n'avait pas entendu Anastasie, carressant machinalement la joue droite et son menton.

-Tien, j'ai oublié de me raser la barbe ce matin, mais il parait que les Barbe de trois jour ça fait tres sexy...

Sa belle mère lui avait dis cents fois que les barbes n'était réservé que pour les hommes, et qu'avec cette touffe de poils sur la tronche elle n'attirera que des brosses a cheveux et non des princes vaillant chevauchant sur leur grand étalon blanc. Sombrant dans l'alcool et la drogue, elle passait la plus clair de son temps a être completement Stone, avec ses allures de Shubaka, elle avait réussi a trouvé un boulo au cirque du coin, allimentant son stock de cam pour noyer son chagrin, le faite qu'elle était tres fière de ses sols était dut a un trouble de la personnalité, son père mort tres tot, elle n'avait pas eu asser d'attention et d'amour, reportant ainsi son amour sur des sols a la limites de se détruite tellement la barraque était en lambeaux, cela était du aux nombreuses teuf partie des deux demis soeurs, en l'Absence de leur mère durant ses séjours a l'Hosto. Cendrillon avait eu des poils tres tot dans son enfance, c'est ce qui avait tuer son père d'ailleur, mais ça elle ne le savait pas, d'abord sur les jambes, et ça a vite commençais a prendre des proportions démusurés. Sa belle mère avait tout fait, épilage, rasage, brulage, elle s'était convaincu qu'il fallait que Cendrillon devait resté dans la maison a ciré les pompes de ses demis soeurs.

-Pff, je déteste ça

Elle fut prise d'une colère monstre en voyant un cheveux d'Anastasie par terre, combien de fois lui avait t'elle dit de faire attention, que ses sols était la plus belle chose, sa plsu grande fierté, le cheveux dans la main, elle marcha d'un pas vif voir sa demi soeur. Bouche bée en voyant le prince charmant, des étoiles tout autours de lui, ce devait être un rêve, une si belle peau, dénuer de barbe, elle rêvait toujours de ce genre de prince...

La femme d'un certain âge était complétement désemparée par sa fille Javote,les seuls sons qu'elle parvenait à faire sortir de ce tube en bois troué à plusieurs reprises qu'on appelait une flûte auraient pû faire fuire un troupeau de boucs enragés.Alors qu'elle commençait à perdre patience,sa deuxiéme fille Anastasie entra en trombe dans la piéce,avec une bien bonne nouvelle.

"Que dis-tu?Le prince?Ici?"

Elle se précipita vers la fenêtre la plus proche en trébuchant sur une partition laissée trainer par Javotte.Aprés plusieurs jurons,elle colla sa face de crapeau contre le carreau soigneusement nettoyé et observa le prince passé sur son cheval.Elle se retourna vers ses deux filles,tout excitée.

"Il n'y a pas une minute à perdre...venez vite!"

Elle prit ses filles par les bras en les trainant dans le hall,pendant que celle-ci protestaient.Elle arrangea la touffe de cheveux d'Anastasie puis fit disparaitre un pli sur la robe de Javotte(une robe Channel collection printemps-été 1745 réputée pour sa douceur et ses plis inéxistants achetée grâce à un crédit à la BNP)

"C'est une chance de séduire le prince avant le bal,ne la gâchez pas!!!" [i]siffla-t-elle

La mére eut un regard vers la porte de la piéce où se trouvait Cendrillon avec dégoût et finit par ouvrir la porte pour ensuite pousser les deux jeunes filles sur le péron avant de les rejoindre.Elle s'inclina respectueusement avec toute la grâce que son énorme postérieur lui permettait,et tira sur les robes de ses filles pour qu'elles en face autant.

"Majesté...Que nous vaut l'honneur de vous voir dans le quartier?"

Elle remarqua le sac posé sur la selle du jeune homme tout en souriant.

**La Halle aux Chaussures?Espéront qu'elles valent le coup...**

Le cheval se stoppa dans une posture surprenante. C'était vraiment à croire qu'il tapait lui aussi la pause, pour parraitre plus attirant que la moyenne. Il était en appui sur trois de ses pattes, la dernière étant légérement repliée contre son torse. On aurait dit une statue faites de marbre par les plus grand ouvrier de la planète. Le prince descendit harmonieusement de son destrier, sortit son épée tellement puissament qu'il faillit tuer la belle-mère, si celle-ci n'avait pas esquiver d'un mouvement de coté. Il s'inclina devant les deux jeunes filles avec un fabuleux geste qui avait pour but de retirer son chapeau

"Chères princesses, chère vieille dame, me voici, me voila ! "

Il s'avança et trébucha sur un grosse pierre, avant d'aller se rattraper aussi bien qu'il le put grâce à la jupe de Javote qui glissa le long de ses jambes. Le prince rougit, et pivota avant de remonter rapidement sur son cheval en ne bougeant plus. il attrapa la boite à chaussures et l'ouvrit élégamment.

"Je cherche ma princesse, mais comme j'ignore hélas encore la tête qu'elle doit avoir, j'ai pour mission de lui faire essayer cette magnifique paire de chaussures. Si je trouve un pied correspondant à cette taille, j'emporterais ma dulcinée sur mon cheval blanc, vers l'infini et au dela. "

Il fit une pause

"Do you want try it ?"

Tout à coup, une petite chose de couleur grise grimpa sur le manteau en haillons de Sin... Heu... De... Cendrillon ! C'était une petite souris, qui se cala sur l'épaule gauche de sa grande copinde de toujours. Elle avait toujours tout partagé avec cendrillon ! Quand la souris (Nommée Sissouris, ne me demandez pas pourquoi, même si ya une raison particulière), mangeait du fromage ou des croutons en en mettant de partout sur le beauuuuu carlage tout lustré, Cendrillon repassait aussitôt après. s'en suivit une longue guerre froide, ou Sissouris bombardait le parquais de toutes sortes de saletés, faisant encore plus nettoyer Sindrid... Cendrillon, au bord de la crise nerveuse. Elles en était finallement toutes deux convenues à une trève, et étaient devenue les meilleurs amies du monde. Même si pour l'instant, on a jamais compris comment un homme... Heu... Une femme à barbe et une souris pouvaient communiquer ensembles.
Donc ! Notre petite Sissouris était fièrement perchée sur l'épaule -poilue- de Cendrillon. Elle aussi, avait remarqué le BEAU GOSSE en puissance sur son noble destrier, avec coupe brushing encore plus lustré et laqué que le parquais de la vielle maison qui partait en ruine. Il regardait les filles, un immense sourire colgate s'étirant sur son visage parfaitement rasé, contrairement à une autre personne...
Sissouris tourna sa petite tête vers celle de la femme à barbe, au bord de la syncope.

**La vache ! Elle se sent plus la pauvre...**

-" Hé ! Cendrillon ! Matte un peu ça ! Il est bien monté..."

Lui lança-t-elle à l'oreille. Hé oui, Sissouris, était... Perverse.

Cendrillon était paralysé de bonheur, idolatrant complétement le beau jeune prince.

-Ah ça oui, tu crois qu'il vas pas avoir peur de me voir ?

Question idiote bien sur, qui n'aurait pas peur d'une femme a barbe avec un ballai 3000 super-drive pour le carelage et une souris sur son épaule, rangeant vite son balai dans el placard a cet effet, elle courut dans les escaliers jusqu'a la salle de toiletage.
Un sourir gigantesque se posa sur le visage de Cendrillon, plaquete de cire et rasoir dans les deux mains.
"Pour des raisons de sécurité en vue de ne pas choquer les lecteurs, nous vous prions de patienter durant l'épilage de Cendrillon en 36 seconde chrono ! )
Un grand bruit affreux se faisait entendre a chaque fois que Cendrillon, tiré sur les bandes de cire, son corps entier étit rouge vif, elle ressemblé a une crevette cuite, c'était mieux que de ressembler a un singe n'est ce pas !
Apres quelque foulée douloureuse jusqu'a la porte, elle glissa sur une dalle trop propre, s'écrasant dans un bruit monstrueux contre la porte, apres quelque seconde de répis, elle put enfin se relever et ouvrir cette foutue porte Ikéa, montable et payable en trois fois seulement !
Le beau prince était devant ses yeux, mais... le prince affichait un air paniqué devant la figure cramoisie de la jeune fille...

Anastasie, au bord de l'évanouissement devant le mâle qui venait de débarquer chez elles, ne pouvait empêcher son tic nerveux: une montait de blondeur en puissance.(ça me rappelle quelqu'un xD) La jeune fille au cheveux mauve s'avança le plus dignement que lui permettait sa démarche du canard unijambiste, s'inclina devant le prince à un tel point que ses cheveux touché terre.

" Majesté, laissez moi essayer la chaussure!"

Couina Anastasie qui était tout à fait déplorable. Devant la résistance du Prince (il a des raisons faut dire) elle décida de s'en emparer de force: d'un bond agile et gracile genre crapaud, Anastasie subtilisa l'une des chaussures, manque de pot elle bascula sur la croûte du destrier qui, effrayer, partie au triple gallot.
Anastasie hurla autant que le lui permettait ses poumons, l'une des fenêtre de la maison n'y a pas survécue. La jeune fille se pris moult branche avant de tomber dans une flaque de bout les fesse en l'aire.

" blup blup"

La belle-mére plaqua la paume de sa main toute ridée sur son visage qui l'était encore plus,à croire qu'elle aurait aimé s'étrangler avec les rênes du beau cheval blanc.Malheureusement celui-ci avait déja fillé.Le probléme c'est qu'on ignorait quel était la raison exact de cette envie de suicide soudain.Etait-ce parce qu'une affreuse crevette à l'apparence familière à celle de Cendrillon venait de se présenter au prince?A moins que c'était la tentative de séduction complétement ratée de son idiote de fille?

La réponse ne se fit pas attendre bien longtemps,elle bondit littéralement sur Anastasie,et la tira de force hors de la flaque de boue.S'en suivit plusieurs mouvements destinés à faire suffoquer la gracieuse jeune fille;la noyer dans la boue,l'étrangler à mains nues et j'en passe.

"Sais-tu combien ces carreaux m'ont couté...?Han!Tu n'es qu'une maladroite stupide et...et...je me porterais mieux sans toi.Une bouche de moins à nourrir!!!"

La vieille dame de toute évidence était en pleine crise de folie,une rechute sans aucun doute.A croire que ses divers séjours à l'hosto ne l'avait guére aidé,en plus elle détestait y aller,ça pue et le blanc partout ça donne mal aux yeux.Même les pillules que les gentils messieurs lui faisait avaler avait un goût de camembert Président vieux d'un mois.

Bien-sûr,pendant que le narrateur faisait son boulot (qui est quand même payé une misére) en racontant l'attirance certaine entre la belle-mére et l'hosto,le visage de la jeune Anastasie avait obtenu une trés jolie couleur bleu sardine.Sa mére continuait toujours de la secouer dans tous les sens en la tenant par le cou,et la situation n'était pas prête de s'améliorer.

Petit mot du narrateur:si quelqu'un pourrait m'apporter un p'tit sandwich ça serait sympa.Parce que déja qui fait pas chaud,si en plus on me laisse crever de faim...

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