(je dois co relire, mais normalement c'est bon, vous pouvez déjà y regarder
)
Nom et prénom : Cécilia. A croire que mes parents lisaient dans l'avenir. Enfin, ce n'était pas compliqué quand on sait où j'habite. Cécilia est un prénom avec une signification bien sombre...cécité. Aveugle. Les autres signification semble, par contre, fausse. A moins que j'ai eu de la chance dans ma misérable vie ?
Mon nom, quel importance ? Je n'ai pas un nom connu... Ducas
On ne se gêne pas pour me donner des surnoms. On ne se demande pas si cela me fait mal d'être appelée de la sorte. Mais de toute façon, comment pourrais-je me défendre ? Aucun moyen. Aucun. Je me contente d'endurer avec mon air revêche et rebelle. Qui ne fait pas grand effet, quand j'y réfléchis.
En fait, le plus "méchant" ce n'est pas les surnoms mais les petites blagues qu'on me fait... pas le temps de s'attarder la dessus, les autres je m'en fous !
Age : 17 ans
Physique : eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuh...rien ? Le noir. C'est pas aussi drôle que ca semble l'être ! D'après les gens qui m'entourent (en qui j'ai confiance) on pourrait dire que :
Cécilia ne voit pas l'intérêt d'ouvrir ses yeux et par conséquent ne les ouvrent guère, sauf lorsque c'est nécéssaire, si par exemple, la personne en face est mal à l'aise. Lorsqu'elle lève les paupières, on découvre des yeux qui oscillent entre le mauves et le bleus nuits. Ses iris sont la plupart du temps fixée sûr un même point et cela perturbe énormément les gens qui la regarde. Elle a des cheveux roses pales sans forme précises. Sa coupe est irrégulière, sa mère étant guère doué à la couper les cheveux de sa fille. Et pour courronner le tout, Cécilia ne les coiffe pour ainsi dire jamais : elle n'en voit pas l'intérêt (c'est le cas de le dire). Ils sont plus ou moins mis long et très sauvage.
Elle a une allure assez indisciplinée donc, et sa façon d'être et de parler, ne fait que comprimer l'impression qu'elle donne. Elle est assez petit, 1m58, ce qui est assez pratique quand on a l'habitude de tomber plus de cinq fois par jours.
Récemment, elle a pris la décision de se faire tatouer. Une de ses rares amies le lui a proposé et elle n'a pas refusé. Son amie sembla ravie du résultat et Cécilia s'en fiche un peu. Elle a donc un tatouage qui va de son oeil et descend le long de sa joue et un autre sur le bras. Cette même amie c'est amusée un peu avec ses cheveux et lui a fait une ou deux mèches noirs qui terminent l'air rebelle de Cécilia.
Elle a la peau très clair et est très mince, peut être trop ? Elle ne mange pas beaucoup, vu la situation financière de ses parents. Elle a une poitrine qui n'attire pas vraiment l'attention mais qui est d'une taille normale.
Elle tâche de s'habiller correctement mais ce n'est pas facile et doit faire confiance aux gouts de son amie et à présent de sa mère. Cependant, cela lui va assez bien (Cécilia a pris soin de retenir les vêtements que son amie avait l'habitude d'associer). Elle a pratiquement toujours avec elle son baton qui lui permet de se guider lorsqu'elle est seule.
Personnalité : Très méfiante envers les inconnus, elle préfère ne pas leur parler ou les écouter, cependant elle n'est pas sourde et si on la cherche, on la trouve, ce qui fait qu'elle leur parle plus souvent qu'elle ne devrait. Elle ne fait confiance à ceux qu'elle ne connais pas que lorsqu'elle y est contraint. Pour ce qui est des personnes qui lui sont proches, elle a en eux, une confiance absolue, elle est bien obligée, d'ailleurs. Comment se débrouillerait-elle sinon ? Elle n'est pas effrayé par l'inconnu, puisqu'elle y est habitué. Ce qui fait qu'elle est assez courageuse, malgré son handicap.
Les remarques méprisables d'autrui ne l'effleurent plus. Elle est assez habituée pour ne plus y faire attention. Mais ce n'est pas parce que cela ne la blesse plus, qu'elle ne réagit pas. Elle a la langue bien pendue. Elle est assez "sauvage" et revêche. Elle veut toujours montrer qu'elle est forte. Elle veut prouver qu'elle n'a peur de rien et qu'elle est la meilleure malgré sa cécité. Elle n'accepte pas l'échec et réagit très mal lorsqu'elle échoue dans quelque chose. Mais elle ne déprime jamais. Elle est très colérique et impulsive. Elle explose en quelques instants mais après, elle continue à être en colère, mais plus sournoisement. Elle est très rancunière. Elle aime se venger. Et peut être très imaginative pour ce faire.
Elle ne se laisse jamais abattre. Elle persévère toujours sans défaillir. Elle est très optimiste et n'abandonne aucun de ses projets et idées. Elle ne pleure jamais de douleur mentale, mais pour la douleur physique, on ne peut pas toujours empécher les larmes. Avec ses amis, sa bonne humeur est contagieuse mais elle ne la partage qu'avec les personnes qu'elle connait, et cela limite à peu de personnes. Elle sourit que lorsqu'elle se sent en sureté, enfermé chez elle entouré de personne connue.
Elle est très vigilente mais peu habile, à cause qu'elle ne voit pas. Plus les années passent, moins elle se rapprochent des gens. Elle devient de plus en plus asociale.
Elle vit dans les bas quartiers et sait ce qu'est la misère et la famine. Et ne sachant voler ni travailler, elle est très dépendante de ses proches et cela, par contre, mine parfois son moral. Mais elle se débrouille toujours pour penser à autre chose. Elle leur doit bien des sourires et de la joie.
Histoire : Ses parents n'étaient pas très riches. Ils vivaient dans un taudis et travaillaient tous deux très durement. Malgré tous leurs efforts, ils restaient pauvres. Le désir de Mélinda, sa mère, était d'avoir un enfant, mais leur situation financière ne permettait pas vraiment de mettre au monde un bébé. Cependant, elle parvint à convaincre son mari. 14 mois plus tard une petite fille naissa qu'ils nomèrent "Cécilia". Elle grandit dans la pauvreté de ses parents. A 7 ans, avec son père, elle allait au marché. Là-bas, celui-ci lui expliqua qu'elle devait prendre des patates dans le boxe à terre quand le vendeur ne regarderaient pas par là. A cet age-là, les punitions étaient quasi inexistante, aussi, elle ne prenait pas de risques. Elle vola sans s'en rendre compte, elle était trop jeune poru comprendre. Sa mère n'a jamais été au courrant des activités illégales de sa chère fille.
A ses douzes ans, ses techniques étaient perfectionnées mais le vol devenait pour elle de plus en plus risqué. Si on l'attrapait la sendence ne serait plus aussi tendre qu'avant. Elle prenait conscience de ses actions mais n'arrêta pas. Elle volait, et alors ? Il fallait bien, sinon que mangerait-elle ce soir ? Son père ramenait peu d'argent. Il ramenait pratiquement tout ce qu'il gagnait, ne se permettant de boire que rarement. Sa mère travaillait également et ramenait encore moins d'argent. Tout les soucis d'argent n'étaient pas si grave, pensait Cécilia, ce qui compte c'est que je sois avec papa et maman. Mais ce n'est pas la réalité. L'inocence de Cécilia disparut deux mois après ses douze ans. Son père s'attardait, pour une fois, au bar du coin. Sa mère était souffrait d'une fièvre et était clouée au lit. Elle délirait et quémandait son mari. Cécilia ne sortait jamais la nuit. Elle ne pouvait pas. Ses parents lui interdissaient formellement. C'était trop dangereux. La nuit dans les bas quartiers c'étaient pire que la guerre. Elle ne comprenait pas à cette époque.
Elle sortit donc de chez elle pour s'avanturer dans les quartiers sombres. Elle arriva dans le bar. Elle entra. Son regard se portait sur chaque homme présent. Il y en avait des couchés sur la table, ivres. Deux hommes sur le côté se disputaient à propos d'une femme, visiblement. Et puis elle vit son père, affalé sur sa chaise. Elle s'approcha. Elle attrapa la veste de son paternel et la tira.
<< - aller papa, vient. Maman a besoin de toi.
- Qui t'es toi ? demanda-t-il d'une voix déformée par l'alcool.
- Rentre à la maison. insista-t-elle.>>
Il ne répondit pas. Son attention se dirigea vers les deux hommes qui commençaient à se battre. La plupart des hommes valides se levèrent pour s'approcher. Cécilia fut entrainée par son père. La bagarre prit plus d'ampleur. Cécilia ne comprenait plus rien. les gens se déplaçaient devant ses yeux lui cachait la vue. Sans qu'elle ne comprenne comment, elle fut projetée sur ledevant de la scène. Au même moment. L'un des deux hommes, le nez en sang, poussa l'autre contre les vitres de l'établissement. Il se releva plein de hargne et ne prit pas garde à l'enfant devant lui. Elle reçut un choc violent sur le crâne. Elle pleura mais personne ne se soucia de la gamine sur le sol. Elle ne fut pas piétiné par miracle. Elle s'évanouït.
Quelques heures plus tard, elle se réveilla, des bandeaux un peu partout autour de sa tête. A moitié inconsciente, elle ne saisissait pas le sens des phrases du médecin. Elle tenta de se concentrer mais rien n'y fit. Elle tacha de se rappeler de ce qui s'était passé. Juste l'horreur. Elle avait déjà vu des petits combats et vivait dans un endroit rempli de violence, mais elle n'en prenait conscience que maintenant. Elle sombra à nouveau. Elle se réveilla quelques heures plus tard. Elle était totalement réveillée, cette fois. Son père, sobre, la serra dans ses bras tout en pleurant. Elle entendit le soufle rauque de sa mère un peu sur la droite. Elle était encore affaiblie par sa maladie mais semblait guérir. Ils discutèrent entre eux, Cécilia ne saisit pas tout, ou alors elle ne chercha pas à comprendre ce qu'ils disaient. Le médecin lui posa des tas de questions, mais Cécilia n'eut pas le temps de répondre à une, elle ne dit que quatre mots :
<<- je ne vois rien.>>
Le médecin s'asarda à plusieurs diagnostic puis finalement dut reconnaître qu'elle était aveugle pour peut être plus longtemps qu'il ne le pensait à la base. Il lui fallut plusieurs jours pour assimiler la vérité. Elle ne prenait pas vraiment conscience de ce qui se passait. Elle finit par s'y habitué. Et oublia presque ce qu'était voir.
Sa mère décida de travailler à la maison pour s'occuper de sa fille...aveugle. Ses autres blessures guérissèrent et un an plus tard il lui restait une ou deux cicatrices sur ses avants bras, dut aux éclats de verres et à d'autres chocs. Miraculeusement, elle ne semblait souffrir que de cécité. Le choc à la tête n'avait semble-t-il affecté que cette unique faculté. Elle s'habitua à ne plus voir. Les premirèes années furent difficiles puis finalement, elle développa ses autres sens. Bien entendu, cela ne compeserait jamais ses yeux, mais elle sentait souvent la présence des gens autour d'elle, comme un sixième sesn. Et son ouie était beaucoup plus développée que la norme. Pratique dans beaucoup de cas.
Les autres se moquaient d'elle parfois, mais Cécilia grandit et se défendit du mieux qu'elle put.
Cécilia, malgré sa pauvreté avait accès à un établissement. Le niveau n'était peut être pas aussi bon que chez les riches, mais sa mère compensait ce manque. Sa mère avait été à l'école des riches et était très intelligente, malheureusement sa classe sociale ne lui permit pas d'avoir un beau métier et ses connaissances ne servirent à rien.
Cécilia fêta ses dix-sept ans. Le même jour, son père revint fou de joie.
<<- Nous sommes riches! hurlait-t-il. Riche !>>
Ils ne fêtèrent pas cette richesse nouvelle, car en réalité, elle n'était pas si fameuse. Ils discutèrent toute la nuit de l'argent gagné (d'après le père il venait d'une promotion etc mais Cécilia se demandait si ce n'était pas plutôt du vol). Après une nuit blanche, ils se décidèrent enfin. L'argent servirait à Cécilia pour aller en cours. Celle-ci voulut objecter, comme quoi avec son handicap c'était impossible. Dans leur petite école, elle avait une amie qui l'aidait énormément ainsi que sa mère. Cependant sa mère n'en démentit pas. C'était important, la seule chance poru Cécilia de s'en sortir. La ville dans laquelle ils vivaient n'était pas exeptionnelle au niveau scolaire, aussi, ils déménagèrent à Tomodachi. Ils n'avaient aucune idée de la "guerre"qui y faisait rage. Devil ? Nom inconnu. Gardien ? de prison peut ^tre ? Bref, ils arrivèrent et s'intallèrent dans les bas quartiers. Ils louaient une maison guère plus spacieuse que leur ancien taudis et toujours situé dans les bas quartier car tous l'argent avait été dans l'inscription à l'école au centre ville et en achat divers pour Cécilia. Sa mère était prête à tout pour qu'elle réussise dans sa vie.
Capacité : Cécilia maitrise assez bien le baton (celui qu'elle se sert pour se déplacer) mais elle n'a aucun chance face à n'importe qui ! Elle a beau s'en servir comme une épée, le fait de ne pas voir n'aide pas. Elle n'a aucun pouvoir spéciaux (pour l'instant ^^) et le seul art dans lequel elle excelle (et encore) c'est la parole. Elle a une assez bonne résistance aux coups. Elle tombe assez souvent et se blesse également, et ses anciens camarades de classe n'était pas toujours tendre. Elle sait aussi tomber sans trop se faire mal, vu qu'elle y est habitué.
Rang : aveugle téméraire
(idée d'Alina/Asmodée )
Autre : leur famille ne sont pas au courrant de l'existance des Gardiens et Devils.