Meutre prémédité

Il y avait quelques moment que red n'avais plus tué ,précisément 2 mois et 4 jours, ils les comptaient ces jour, avec frustration car ne plus pratiquer sont loisir favori aurait sur lui l'effet de le rendre dépressif.

Il travaillait dans le restaurent situer au centre ville, vers les quartiers riche et tranquille de Tomodachi ,ou il avais un trouvé un boulot en tant que serveur.Il se fatigué de se travaille, il démoralisait pourtant, les client avait l'impression que ce serveur était un "jeune homme" équilibrée, sans problèmes, mais surtout poli et courtois et les nombreux pourboire qu'ils recevaient en était la preuve même.

A la fin de sont travaille il alla salué sont patron et sortit par la porte de derrière qui donné sur une petite sombres ou il y avait quelques poubelles et détritus.
Red commença à vaciller, il porta la main sur un mur et se mit a réfléchir, a la fin de sa tranquille petite fausse vie. Il aboutis que sa nouvelle résolution allait commençais et n'entacheras pas sur sa "fausse vie" , il tuerais jusqu'à qu'il n'y ait plus de témoin.

Red sortit de la petit rue et se mis a courir vers les bas quartier , quand ils les atteignit il se trouva une ruelle sombres ou une personne "équilibré" ne devrait pas se trouvait il longea la sombres rue jusqu'à en trouvait le cul-de-sac, tout simplement il s'assit et s'adossât contre un mur. Il laissa débordé de la poche droite de son pantalon les nombreux pourboire de mille yens qu'il avait pus avoir, 15 minutes plus tard trois hommes dont un vieillard accompagné d'un enfant armé d'un bâton quasiment pourrit, pas plus long que sont bras, venait pour lui volait son argent , le vieillard tenait a penne debout et était habillé d'un vieux manteau , l'enfant avait c'est habille troué et sont regard était plein de d'espoir d'une vie meilleur. Les deux autres hommes avais l'air jeune, et eux était armé de couteaux émoussé.


"donné nous se que vous avez dans votre poche et il ne vous sera fait aucun mal" grogna le premier des homme.

"Désole"s'excusa le vieillard.

Red se mit debout sortit les billet de sa poche et les jeta d'un geste violent sur le vieillard, il hotta sa cravate et posa sont regard dans celui qui avais grogner la menace un large sourire sadique s'afficha sur sont visage
Il se mordit la lèvre inférieur, et au moment pile ou le vieillard s'était baisser pour ramassé les billet red plongea sa main dans la poitrine du première homme , qui mourut sur le coup le deuxième avait un larme qui perler a la seconde ou sont camarde mourut. Red l'attrapa par la gorge, planta ces doigts dans sa gorge toute en la tenant , et pour qu'aucun bruit n'en sorte, plus il lui arracha la moitié de la gorge et le lâcha au sol sa mort fut douloureuse et dura quelques secondes mais était inaudible. le vieillard mourut sur le coup d'un crise cardiaque. L'enfant plus courageux voulut s'enfuir pour tout aller raconter aux policer de la ville mais son corps ne voulait plus bougeait . Red avait posé sa main droite au sol sur l'ombre du garçon avant qu'il n'est pus s'enfuir un bras sortit de l'ombre, rendu matérielle par un des dons de Red. Le bras noir remontât tous le corps du garçon se sera au tour de sont coup et lui brisa.

Red avais atteint l'apogée de sont bonheur, personne ne l'avait vu. Des ailes noir sortit de son dos, traversant ses habilles. Il claqua des doigts les corps des trois hommes et du garçon brula instantanément dans de grandes flammes, se qui attirât quelques curieux. Red s'envolât en quelque battement d'ailes avant qu'il ne put se faire voir, et se posa quelques rues plus loin et reprit a la marche sa petit balade après que se aile disparut dans son dos ne laissant que les vêtement arrachés

La famille Ducas avait fini d'emménager fin d'après-midi dans leur maison pourrie. En y entrant, Cécilia avait détecté une odeur d'urine suspecte mais lorsqu'elle en avait fait la remarque, ça mère avait ignoré en rigolant. Un rire forcé et faux. Elle avait préféré laisser tomber. C'était de sa faute si ils avaient emménagé dans une maison aussi pourrie qu'avant. Elle préférait donc éviter de mettre sa mère dans l'embarras. Mêlé à l'odeur de pipi, elle huma une odeur de moisi, et soupçonna que les poutres et la structure en bois était en mauvais état. Là aussi, elle ne fit pas de commentaire. Malgré tout, elle avait préféré ne pas se mouvoir seule dans la demeure (nom exagéré) pour éviter de s'étaler à terre et de tomber dans une mare de liquide douteux. Elle ne connaissait pas du tout l'endroit, et bien qu'elle n'était pas effrayée, il fallait avouer qu'elle n'était pas à son aise. Sa mère la guida à travers toute la maison et sur cette visite (de courte durée vu la grandeur de la maison) Cécilia avait été rattrapée de justesse par les bras habitués de sa mère, mais elle n'avait pas pu éviter un clou sur lequel elle avait marché. Elle avait sautillé comme une débile pendant deux minutes pour se calmer.
- Il y a des choses que mon bâton ne sait pas détecter...
- Cela ne se reproduira plus, lui assura sa mère, je vais dégager le sol et nettoyer un peu pour éviter tout futur accident.

Les paroles rassurantes et chaleureuses de sa mère, n'apaisèrent pas la colère de Cécilia. Au fond d'elle, elle se déchaînait. Elle hurlait. Pourquoi fallait-il qu'elle soit aveugle ?
En cinq ans, la question n'avait cessé de revenir par instants, et jamais Cécilia n'avait pu trouver la réponse. Aujourd'hui encore, allongée sur son lit (aussi douteux que le reste) elle réfléchissait sans rien obtenir.
- Cécilia ? cria sa mère de la pièce à côté, la cuisine.
L'aveugle se leva et saisit son bâton pour rejoindre sa mère. Elle logeait dans la chambre du bas (pièce qui ne permettait que de placer un lit et d'ouvrir la porte), ses parents devaient prendre une échelle pour atteindre leur propre chambre, guère plus grande que la sienne, et adjacent à leur pièce à coucher se trouvait la salle de bain. Insalubre, comme le reste en fait. La cuisine était la plus grande pièce mais cela ne voulait pas dire grand chose vu la largeur et longueur des autres pièces .
- La dame habitant en face semble bien sympathique, pourrais-tu aller lui emprunter un oeuf, s'il te plait ?
Cécilia acquiesça lentement et se dirigea vers la porte assez lentement. Sa mère l'avertit de faire attention à leur entrée car des bouts de verre traînaient sur le sol. Contrairement à celle-ci, Cécilia ne semblait pas aussi sure qu'elle de la bonté de leur voisine d'en face. Ici on ne fait confiance à personne et on ne prête rien à personne, et encore moins aux nouveaux voisins ! Mais il fallait bien essayer, non ?
Cécilia sortit plus rapidement qu'à l'intérieur. Dehors, elle ne voulait pas montrer sa faiblesse, aussi marchait-elle d'un bon pas. Peut être un trop bon pas ? Elle percuta en plein fouet une personne indéterminée. Sous le choc elle tomba à terre (rien étonnant, elle y était habituée) et lâcha son bâton. Elle se retrouva à terre en ne sachant plus d'ou elle venait et où se situait l'entrée de la voisine. Elle tâtonna un peu autour d'elle, espérant récupérer son bâton, mais elle l'avait expédié trop loin et renonça.
Elle se positionna en tailleur et fit quelques respirations contrôlés pour enfin dire :
- désolé. Je vous prie de m'excuser.
Elle ouvrit les yeux et fixa un point au hasard, ne sachant si l'individu se trouvait en face d'elle ou pas. Malgré ses paroles, elle ne semblait pas vraiment désolée, c'était plus une façon de parler et une habitude qu'autre chose. Certains gens se vexaient, d'autres l'excusaient à cause de sa cécité, mais toutes les réactions étaient identiques pour Cécilia : rien. Que cette personne réagisse comme elle veut, de toute façon j'ai d'autre chose à faire, pensa-t-elle.
Elle reprit ses recherches, toujours rampant sur le sol. Elle offrait un spectacle pitoyable, mais elle n'avait pas d'autres solutions. Après quelques minutes, exaspérée, elle se releva et jeta un coup dans le vide. Pas de pot, elle percuta son bâton et l'envoya volée quelques mètres plus loin.
- misérable, soupira-t-elle consciente que c'était l'image qui se dégageait d'elle en ce moment.
Mais malgré cela, elle n'était pas prête de demander de l'aide à la personne qui était à ses côtés, à moins qu'elle soit déjà partie ? Elle n'en savait rien et ne voulait pas savoir. De toute façon elle n'avait pas besoin de cette personne et voulait se débrouillée toute seule.
L'unique solution qu'elle semblait avoir trouvée était de se diriger devant elle et espérer que son bâton s'y trouve. Ensuite, elle chercherait les fameux bouts de verre pour s'y repérer. Son plan était d'une nullité effarante, surtout quand on savait qu'il y avait des bouts de verre non seulement devant leur maison mais devant beaucoup d'autres maisons. C'était peut être un moyen d'accueillir les voisins ?

Cela faisait un sacré moment que Namashi n'avait pas montré le bout de son nez. A vrai dire, il trainer dans les bas quartier, ne donnant aucun signe de vie, il passait ses journée à trainer, se faisant oublier, et passant pas mal de ses soirées dans des bars.

"Il y a de l'agitation aujourd'hui..."

Pensa l'élément master qui avait senti l'odeur du sang. Perché sur son toit il allait se lever afin d'aller examiner les lieux d'où provenait cette odeur, mais aussi tôt son intention fut capté par une jeune fille qui venait de percuter une personne, et qui, apparemment, avait perdu quelque chose lors de l'impact.
Namashi ne comprit pas pourquoi l'autre personne ne l'aida pas... après tout on était dans les bas quartier, ou la majorité des personnes sont des loubards.
A la voir en difficulté ainsi, à trouver son bâton qui n'était pas si loin, Namashi en conclu alors qu'elle avait perdu la vue, et comprit ainsi pourquoi elle s'obstinait tant à chercher son bâton par elle même.
Mais il ne pouvait pas la regarder sans rien faire, mais ne voulant pas la briser dans son effort, Namashi, étant un maître des éléments, usa du vent afin de ramener discrètement le bâton le plus prêt possible de son propriétaire, qui n'avait, à présent, plus qu'à mettre la main dessus.

**Bien je pense qu'avec ça, ça devrai aller...**

Malgré sa colère et son impulsivité habituelle, elle décida d'y aller pas à pas. Elle n'aimait pas ramper sur le sol et donc elle avait décidé de marcher quelques pas avant de se coucher à nouveau sur le sol, cela éviterait de se ridiculiser totalement. Des années de pratique lui avait appris qu'elle devait toujours être sur ses gardes lorsqu'elle ne possédait pas son baton. Les obstacles se dressaient invisible devant elle, et sans son fameux baton, elle n'aurait rien pour les détecter et tomberait en beauté. Elle fit un pas, son pied se déposait très lentement sur... non pas le sol mais son baton. Aussi incroyable que cela semblait l'être. Elle se pencha donc, toujours lentement, pour attraper celui-ci et le serra contre elle comme si c'était son bien le plus précieux (alors que c'était un bout de bois tout pourri...).
Elle évita de réfléchir au pourquoi du comment de la présence de son baton à ses pieds et pas à dix mètres devant elle. Depuis le temps, toutes les choses qui lui semblaient anormales étaient devenue normales. Elle n'avait rien vu (c'est le cas de le dire) et par conséquent, elle devait prendre les choses telle quelles. En plus éviter de s'interroger sur cà évitait les mauvaises surprises. Et en plus se poser de questions n'auraient servi strictement à rien.
Il restait cependant une question sans réponse : où se trouvait la maison de la voisine ?

Cécilia se dirigea vers une direction au hasard, son baton bien devant elle. Elle faisait aller son baton de gauche à droit pour couvrir une surface aussi large qu'elle.

[eeeeuh pour mettre un peu d'animation on peut dire qu'elle frappe red sans le faire exprès avec son baton ? Ou alors qu'elle va le frapper mais qu'il l'évite ou quenama le fait éviter ou je sais pas xD]

Red comme enivré par le bonheur et l'odeur pour lui si elle m'avais vuencore présente il se sentait léger comme si il s'était libérer d'un lourd fardeau, ou encore comme si il c'était drogué. Il ne faisait plus attention au gens qui l'entourait et encore moins a sa chemise dons le dos était en lambeau. pourtant un absurde hasard le fit a moitié reprendre ces esprits une jeune fille lui cogna léger ment la cheville droite avec un baton, il s'arrêtât de marché regardants la fille tout en gardant dans son esprit l'odeur des corps et l'envie de voir encore une fois ce doux rêve se réaliser encore une fois. Prenant conscience d'avoir le dos de sa chemise déchiré et de se qui l'entourait il regardé plus sérieusement la jeune fille devant lui, la dévisagea se dit qu'elle devait être sois idiote soi aveugle pour heurté un personne qui il en avais maintenant conscience avait pus avoir l'air louche avec un telle accoutrement.

*Elle doit être aveugle, je pense que si elle avait checher a me provoquer elle n'aurait pas frappé si doucement et elle m'aurait s'en doute contourner.*

Il sentit dans sont dos une présence qui lui déplais, comme un regard lourd qu'on lui porterait, il nu pas a se retourner pour savoir qu'il y avais un gardien derrière lui, savoir le qu'elle lui importer peut.
La jeune fille ne remarquant pas sont actes ne s'excusa a pas, se qui amusait red était que les aveugles pouvait très bien tombé sur un assassin ou quelqu'un de "douteux" sans qu'il puisse le remarquer.Il se disait aussi que certain de leur sens devenait plus aiguisé avec le temps, sont odorat le trahirait-il? l'odeur de chair brulée n'était normalement plus présente que pour lui ferait-elle exception ?
Mais il voulu paraitre tout autrement a ses oreilles. Il prit une voix la plus chaleureuse et serviable, un ton qu'il lui avait valu plusieurs amitiés et pourboires a sont travail de serveur.

"Bonjour je me présente, je m'appelle Adol, j'ai remarquer que vous m'aviez par erreur donner un coup avec votre baton.Puis je vous aidez ?"
(la jeune fille sursauta très legerment en voyant que "l'obstacle" qu'elle avait touché était enfaite un homme)

Il pensa que de cette manière il pourrait s'amuser avec une nouvelle "proie".La voix qu'il avait prise l'aurait pus faire passer pour un vieux serveur aimable sortit dont ne sais ou, Mais il fut corriger pas sa voie car il n'avait que dans les 20 ans.
Il jeta un léger regard qui pouvait passer pour agressif en arrière a l'homme a la désagréable présence qui était plus tot destiné a le faire s'éloigner de sa "proie"

Cécilia continuait de faire aller son baton doucement devant elle, lorsqu'elle se heurta à un "objet". Son coup avait été très doux, presque comme une caresse. Elle n'avait aucune idée de l'objet qui trainait devant elle. Elle fit une courte analyse de la situation. Les possibilités qui s'offraient à elle étaient : soit quelque chose plantée dans le sol (sinon il aurait bougé sous le coup qu'elle avait donné) soit un objet lourd. Cela n'excluait donc pas grand chose. Alors qu'elle allait contourner d'au moins un mètre (pour être sure) l'obstacle, l'objet en question l'interpella. Elle sursauta, légèrement surprise (même si ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait).
merde un jeune homme, pensa-t-elle. Ca n'arrivait qu'à elle (et aux autres aveugles...). Au moins, elle était tombée sur une personne qui semblait gentille. Elle avait évité par miracle un loubard ou tout autre individu mal intentionné. Du moins, en apparence. La vie, et les rumeurs du quartier, lui avait appris à ne jamais se fier à la voix ou tout autre chose. Et puis, de tout façon, Cécilia ne faisait confiance à personne sauf à ses proches (limités à quatre personnes grand max). Aussi, elle restait prête à s'enfuir ou à se défendre. C'était idiot de penser qu'elle pourrait s'en sortir si on décidait de l'agresser, mais elle n'avait que cela comme solution.

Il lui avait fait remarqué qu'elle l'avait frappé. Peut être veut-il qu'elle s'excuse ? D'un autre côté il propose son aide. Il s'est présenté en plus...enfin c'est peut être un faux nom. Cécilia restait pensive et n'avait toujours rien dit. Elle réfléchissait à ce qu'elle allait bien pouvoir dire. En fait, l'idée de recevoir de l'aide par un inconnu la répulsait. Tout abord parce qu'elle n'aimait pas être aidée, ensuite parce que c'était dangereux.
- Non, je vais m'en sortir.
Elle avait parlé en tâchant d'être ni trop méchante, ni vraiment aimable. Un ton neutre. Elle savait que ce n'était pas très agréable de se faire refuser de la sorte, surtout quand cela partait d'un bon sentiment (ce qui n'est pas certain mais bon). Mais elle ne pouvait pas accepter son aide. Même si elle en avait besoin. C'était pas encore comme si elle était vraiment perdue, il y avait toujours moyen de s'en sortir seule, donc, tant que c'est possible, elle préfère essayer.
Elle commença à marcher, sur la droite pour contourner le jeune homme, puis s'arrêta. Elle n'avait vraiment aps été aimable, si elle continuait à parler comme ça aux seuls personnes qui semblaient vouloir l'aider, ell en'aurait bientôt plus personne.
- Merci quand même.
Elle risqua un petit sourire qu'elle tenta de rendre chaleureux.
Puis elle fit encore deux pas et s'arrêta à nouveau. c'était bien joli de vouloir s'en sortir comme une grande, mais elle ne savait toujours pas par où elle devait aller. Et surtout, elle risquait d'entrer dans une mauvaise maison et de faire une rencontre dangereuse. Mais si on y réfléchit bien, demander à cet inconnu de la guider n'était pas non plus très intelligent, il pourrait très facilement la conduire dans son repère pour la tuer ou autre. Dans tous les cas, elle était en danger.
Je n'ai plus qu'à espérer que cette personne est une personne très gentille... pensa-t-elle pas vraiment ravie.
- En fait si... j'accepte ton aide.
Cécilia détestait vouvoyer les gens. Elle n'avait pas pris un ton implorant ou aimable, mais avait tenté tout de même d'être gentille.
- Euh... tu peux m'indiquer la maison qui se trouve en face du numéro 78 de cette rue ?
Elle ouvrit les yeux pour fixer l'endroit où elle pensait qu'était le jeune homme.
- S'il te plait, Adol, ajouta-t-elle en faisant son possible pour être moins froide qu'au début.
Elle ne s'était pas présentée, ça non plus, ce n'était pas très plaisant pour lui, mais tant pis. Peut être dirait-elle son prénom lorsqu'elle aurait atteint la maison en question. D'un autre côté elle avait pas envie d'aller quémander des oeufs à cette voisine qui refuserait sans doute.

A sont nom red réagit amuser il y avait bien longtemps que personne ne l'avais appeler ainsi, depuis ces ex-employeurs, le métier qui avais fait si longtemps, assassin. Rien que pour sa il décida d'un autre avenir pour elle. Celui de la confronté pleinement aux "résidu" des bas quartier de la ville.
Il se concentra a nouveau pour cacher le plaisir dans sa voix de voir comment elle pourrait se débrouiller, de sa voix la plus chaleureuse qui pus faire il lui indiqua le chemin a prendre, il lui prit doucement le poignet de la main avec la quelle elle tenais sont bâton le souleva a la hauteur de ses épaules, de sont autres main il souleva l'extrémité du bâton de façon de pointait la maison ou elle souhaiter allé.

"Voici ou est la maison par rapport a vous. Bien sur si vous le désirait je peux vous y accompagné. "

Il lui relâcha la main comme il lui avait prise.
Red u alors un doute le numéro 78 était habité par un dame pauvre, mais poli qu'il voyait se baladait habituellement quelle que rue plus loin, elle perdait un peu de sa tête disait-on après, que l'on ose lui réclamais des choses, elle pouvait devenir violente, sans doute lui avait on emprunté volé qu'elle choses de précieux qui ne lui avait jamais rendu. Que pourrait elle bien allait faire chez elle?
Il pensa qu'il pourrait alors en profité. Il ne laissa pas le temps a la jeune fille de répondre a sa proposition.

"Excusé moi mais je dois hélas partir. je dois retrouvé un ami dans le coin."

Il se mit silencieusement a marcher au pas de course les 50m qui les séparer de la maison de la pauvre femme pour devancer, avec suffisamment d'avance la jeune fille, pour pouvoir lui parler rapidement sans quelque puisse sent être rendu compte. Il fut alors plus a porté de vue du Namashi.
Une fois la maison atteint, il toqua a la porte, quelque seconde plus tard il entendit quelque pas et un vielle femme lui ouvrit,elle vis le jeune homme en chemise dons elle ne pouvait pas voir la partie en lambeau.

"Bonjour"

"Excusé moi madame je viens vous informer par mesure de sécurité des habitant de cette ville, qu'une jeune fille se fessant passé pour aveugle pourrait venir vous voir cherchant sans doute a vous volée une fois que vous lui aurait laisser l'occasion."

Sa voix ne pouvait suggérer le mensonge, car elle était tout aussi chaleureuse qu'elle l'avais put étre pour la jeune aveugle.

"Hein ? Quoi ... me volé ?"

Les joues de la vielle femme prit un rouge vif, et elle commença a marmonner des insultes,un mensonges aussi grossier aurait du être facilement vu, mais ayant une santé mentale léger, elle y crut dur comme fer.

"je vais la salué avec ma canne moi je vous le dit !!!" grognât-elle

Elle lui referma au nez d'un coup violent la porte, Red inquiet de raté sont coup recula de quelle que pas pour voir si la jeune fille approché. Il fut rassuré que malgré les information quelle lui avait donné elle zigzaguait légèrement et s'approcher lentement de la maison. Il sen éloigna et s'assit a même le sol , s'adossant contre le mur d'un autre maison, qui y était opposé, pour avoir un point d'observation parfait.


*Si jamais la vielle la blesse trop gravement ou lui donne un coup trop violent, je la tuerait.*

Cette penser n'était pas sympathique. Mais juste égoïste car si elle la blesser il ne pourrait plus s'amuser avec.

Cécilia attendait qu'il donne des indications à voix haute, du style : un peu plus sur ta droite, un peu plus sur ta gauche, à non c'est trop, ... Bien entendu ce n'était pas évident d'indiquer un chemin avec de tels moyens, mais il n'y aviat pas d'autres solutions, pas vrai ? Il n'avait toujours rien dit puis, sans prévenir, ou plutôt sans que Cécilia le remarque ou le pense, il lui saisit le poignet. Elle ne s'attendait pas du tout à ça et n'avait pas vu le coup venir... logique. Aussi, au contact du jeune homme, un frisson lui parcouru le corps. Cécilia ne broncha pas mais n'en pensait pas moins.
* Pour qui il se prend ? Il a pas appris qu'on touche pas les gens qu'on connait pas ? S'il me tient encore une minute de plus je crie au viol ! Il a beau avoir la délicatesse d'un amant, je n'accepte pas ce genre de comportement...
trois deux ...*
Il lui lâcha la main et Cécilia se retint de justesse d'hurler. Elle était mécontente. C'était surtout le fait qu'elle avait été surprise qui l'avait un peu irrité. Enfin maintenant c'est fini.
Il proposa son aide que Cécilia refusa. Elle haissait qu'on l'aide, alors fallait pas non plus commencer à faire du zèle ! C'était déjà un grand honneur de pouvoir lui indiquer la route (en la touchant qui plus est !) alors il ne fallait pas exagérer. Malgré toutes ses pensées violentes contre le pauvre type qui avait bien voulu l'aider, elle se tut. Il fallait être raisonnable, il pouvait peut être devenir violent si elle disait ce qu'elle pensait. L'envie lui brulait la langue pourtant...mais la raison ou plutôt l'envie de rentrer rapidement chez elle, l'en empécha.
De toute façon il devait partir.
*Ca tombe très bien, au revoir pour toujours monsieur ! Plus besoin de dire mon prénom maintenant. Me voilà débarassée d'une chose embêtante. La chance commence enfin à me sourire visiblement.*
La voix chaleureuse de l'inconnu resterait la seule trace, le seul souvenirs que garderait Cécilia d'Adol. La délicatesse de ses gestes aussi. Son visage, la couleur de ses yeux ou de ses cheveux, restaient pour toujours noir. Elle l'avait imaginé assez jeune, au son de sa voix, très souriant, les yeux de couleur noisette et rieurs, des cheveux qui oscille entre le brun et le blond. Un visage d'ange, enjoleur.
L'avantage, lorsqu'on est aveugle, c'est qu'on peut imaginer tout le monde comme on veut. Et pour Cécilia, cet inconnu, devait d'être comme ça. Elle n'aurait pas l'occasion de lui demander si elle a juste ou non, tant pis.

Elle marcha tout en étant très prudente, elle n'aviat pas envie de tomber à nouveau, ce serait vraiment la honte. Elle était donc assez lente, elle ne savait pas trop si c'était préférable aux chutes, mais bon. Elle atteignit la porte, elle était tombée tout pile dessus par chance. Elle frappa la porte doucement et attendit. La porte fit un léger bruit qui lui indiqua qu'on venait de l'ouvrir. D'une voix qu'elle voulut rendre gentille et confiante, elle dit :
- Bonjour madame, nous sommes nouveaux dans le quartier, et ma mère à besoin d'un oeuf pour finir notre souper. Bien entendu nous vous le rendrons demain ou après-demain.

Elle avait envie de vomir car jouer la carte de la petite fille adorable et serviable, elle détestait ça. Mais ca marchait mieux lorsqu'elle faisait semblant d^'etre comme ça...alors elle en jouait. Sans exhiber le fait qu'elle était aveugle, elle ne tenta pas de le cacher. Ca aussi, ca lui donnait envie de vomir. La culpabilité qu'elle éprouva de profiter de sa cécité ne dura pas longtemps car la vieille dame commença à hurler :
- Espèce de sale voleuse ! Fausse aveugle va ! Comment oses-tu voler une vieille dame déjà bien pauvre. Tu mériterais d'être pendue sur la place public.
Pour qui elle se prend cette vieille bique ? Cécilia afficha une mine farouche. Mécontente d'être accusée de la sorte. Elle était prête à se battre pour défendre son honneur. Faut pas exagérer, c'est qu'un emprunt.
La vieille dame possédait également un baton, car Cécilia sentit celui-ci lui passer très près de son nez. Heureusement elle ne fut pas touchée. Elle recula vivement d'un pas et se souvint que des morceaux de verres jonchaient le sol par ici. Il fallait donc éviter de tomber à terre. Un autre coup ne tarderait pas à venir. Elle était sans doute à moitié folle.
*Fallait que ca tombe sur moi, évidemment ! Ah je vous jure !*
Cécilia tournoya vers le côté droit et s'aggripa au mur en pierre (elle en profita pour s'écorcher le bout des doigts). Le coup prédit arriva, mais grace à sa "fuite" elle ne fut que légèrement touchée au mollet. La vieille dame continua à proférer des insanité que Cécilia n'écoutait plus. Aggripée au mur, elle continua sa course tout en comptant le nombre de pas qu'elle faisait (pour éviter de se perdre). Elle poursuivit pendant quelques mètres. Elle entendit la vieille soupirée et refermer la porte.
- Fait chier ! cria-t-elle.
Elle n'avait pas beaucoup mal à son mollet mais elle devait sans doute être rouge, et le bout de ses doigts la faisait souffrir. Elle saignait à peine. Elle but le sang. Elle aimait le gout de fer qu'il avait. Et se colla au mur en soupirant. Elle frappa violemment le mur (chose très stupide puisqu'elle se griffa la main. Il fallait qu'elle se calme. Qu'est-ce qu'elle aviat cette vieille femme ? Elle n'avait rien fait pourtant ! Comment avait-elle put se mettre une telle idée en tête. Il y avait un truc étrange et inexpliqué.

Red fut amuser par l'esquive de la jeune femme. Elle avais pu prédire que le coup serait porter verticalement, elle, il en était maintenant sur, était loin d'être idiote, il esquissa un léger sourire au coin de ses lèvre, et se releva. Il essuya légèrement son pantalon qui était sali par la poussière, et les saleté qui résider au sol. Il regarda la cheville de la jeune femme et le peu de sang qui y couler, il fut stupéfait de voir qu'elle le bu, Aimait elle le gout du sang, comme lui, peut-être avais telle, en elle une lueur de vocation d'aimer voir le sang couler ? En simple spectatrice ou en meurtrière? cette question trottiné dans la tête de Red,
ce fut vraie que Red, en se moment n'avais plus l'intention de la tuée, mais de lui faire passé quelque test amusant.


*je crois me souvenir qu'il y a bien des mendiant dans les rue sombre de cette partie de la ville*

il vit ensuite la jeune femme se frapper la main, avait-elle sans doute de la colère en elle d'être si malchanceuse ,d'être tombé sur un vielle femme aussi "violente et malpoli". Il allais lui donner l'occasion d'amplifiait sa colère, et pourquoi pas de se défouler. Il alla marcher toujours discrètement une peu plus loin vers une rue sombres qui avait pour réputation que le jour elle était un lieu rempli de mendiant et le soir un coupe-gorge. une fois la rue atteint il fut déçus de voir qu'il n'y avais qu'un seule mendiant assis sur le sol, une pancarte a la main et un chapeau vide devant ses pieds.
il entra dans la rue n'étant plus visible que par les trés rares passants qui passer devant la rue, il scruta l'homme il avait les joue creuse, il était maigres , une long barbe et de long cheuveux sec, il ne devait plus avoir mangé depuis des jours. Il se mit regarder la pacarte et décrita avec difficulté les mots inscrit sur la pancarte étant très mal écrit et quasiment effacé,
"Quelques sous pour un handicapé"
visiblement ses jambes était en bonne état il ne lui manqué aucun membres s'est yeux bien que léger ment ferme le regard, il n'était donc pas aveugle, peut-être sourd. Red le salua pour le vérifier.

"Bonjour."

L'homme lui fit un signe de la tête tout en le regardant en signe de réponse, Red u alors un sourire qu'il ne cacha pas. Une autre hypothèse lui chatouilla l'esprit.

"Votre handicap est d'être mué ? "

Le pauvre homme fit un nouveau signe de la téte comme pour lui répondre "oui" essayant de provoquer de la pitié pour l'homme qui était devant lui .Parfait pensa red. Il lui tendit la main comme si il voulait le salué d'une poignée de main, le mendiant u un léger sourire qui s'effaça quelque seconde après sont apparition. Car red lui l'avais attrapé par le col de sont t-shirt usé et sale, il le releva brutalement et le plaqua contre l'avant bras droit sur la gorge lui serant contre le mur l'empêchant de fuir. Il se débatit mais red ne lâcha pas la pression qu'il lui mit au niveau de la gorge. De sa main gauche il prit une piéce symbolique dans sa poche, la mit dans celle du mendiant et lui murmura a l'oreille un marché qu'il voulez conclure avec lui.

"En échange d'une somme beaucoup plus grosse que la pièce que tu a dans la poche, et de ta vie tu vas agresser une jeune aveugle dans la rue."

Le pauvre baissa les yeux, et fit un signe de téte qui était positif a la proposition qu'il venait de lui faire. Red s'arracha la bout de peau la paume de sa main gauche en se mordant, et regarda perler une goutte de sang. il abattit brutalement cette même paume sur la bouche de l'homme, qui la perle de sang une fois en contact avec sa bouche provoqua en lui une grande colère envers la personne d'écrite par Red. il relâcha la pression qu'il lui avait mise sur la gorge et le laissa sortit de la ruelle. Le mendiant se mit a courir le poing fermé en direction de la première aveugle qu'il vus 10m plus loin, qui n'était autre il n'y avait plus en ses yeux aucune hésitation. Red le suivie mais s'arrêta a la moitié de la distance pour s'offrir un bon poing d'observation,
et ou il pourrait facilement aidée la jeune fille si sa ce déroulait mal.

Cécilia resta quelques minutes, adossée contre ce mur froid et sal. Elle attendait quelque chose, mais quoi ? Elle-même n'avait aucune idée de la chose qu'elle pourrait iben attendre collée à ce fichu mur. En réalité elle ne voulait aps rentrer mais elle ne pouvait aps s'éloigner, alors elle restait sur place. Elle avait échoué, elle n'avait pas obtenu un seul pauvre oeuf ! Les gens de cette ville sont-ils si peu charitables ? N'existe-t-il aucune solidarité entre citoyens d'une même ville ? La réponse était oui, personne n'est charitable, et non personne n'est solidaire. Cécilia le savait pourtant. Dans son ancienne ville, c'était la même chose. Chacun pour soi. Les mentalités restent les mêmes, les gens et les villes peuvent devenir autre, mais le fond est identique dans toutes les grandes villes. Aucune pitié.

Elle était absorbée dans ses pensées mais le souffle irrégulier d'un inconnu la ramena sur terre. Elle entendait distinctement la respiration précipitée que cet individu avait. Il était certain qu'il courrait, de son côté, qu'il devait être asmathique ou vieux, vu le bruit qu'il fasait. Sans doute un homme mais ce n'était pas certain. Cécilia avait l'impression qu'il allait claquer là, à force de courir comme un dératé. Le bruit s'amplifiait et Cécilia se demandait pourquoi il se dirigeait vers elle. Enfin, il allait sans doute passer à côté, il tentait de rejoindre le troittoir, se persuada-t-elle. Aussi elle ne s'était pas attendue à recevoir un coup de tête dans l'abdomen. Elle rebondit contre le mur. Elle eut un petit gémissement de douleur mais n'eut pas le temps de se plaindre car elle savait qu'il chargerait à nouveau. C'était l'unique certitude qu'elle avait. Le reste était inconnu. Il était venu de sa droite aussi se déplaça-t-elle devant elle et un peu vers la gauche pour se tourner rapidement face à l'endroit où il était sencé être (ce n'était qu'une hypothèse. Mais le bruit qu'il faisait en respirant semblait confirmer cette idée). Elle n'était douée qu'à ça : esquiver, fuir. Elle brandit son baton comme une épée, ce qui lui donnait l'air d'une idiote, et attendit une nouvelle charge. Pour une fois, elle allait contre attaquer ou du moins se défendre et ne pas éviter les coups. Elle regrettait que son baton ne cache pas une épée à cet instant précis. La douleur du premier coup commençait à se dissiper lorsqu'elle entendit qu'il fonçait à nouveau sur elle.
- Qui êtes vous ? questionna-t-elle inutilement vu qu'il ne répondit pas.
Il chargeait un peu comme un animaux le ferait. Il devait être stupide ou fou pour charger de face. Malgré sa grande stupide (à lui), Cécilia savait que cela ne changerait pas grand chose pour elle : elle n'était aps de taille à se battre contre quelqu'un. La seule chose qu'elle saurait faire c'est frapper sans viser et donc faire des grands coups dans le vide. Cependant, la jeune aveugle n'était pas du genre à se laisser abattre et si on considérait l'ennemis comme vieux ou asmathique, il devait être faible : peut être avait elle une chance ? Elle donna un grand coup devant elle et elle heurta quelque chose.
Elle n'eut aps le temps de crier victoire que son baton se brisa. L'homme s'était arrêté légèrement assomé par le coup reçu, peut être saignait-il ? Peut être pas. Il se remit assez rapidement, trop rapidement. Elle n'eut même pas le temps de changer de position qu'il démarra à nouveau. Elle reçut l'attaque (coup de boule numéro 2)de plein fouet sans avoir eu le temps de se protéger. Propulsée à terre elle tomba évidemment sur des bouts de verre. Elle avait mal à son ventre et à ses mains ensanglantée à présent. Elle tremblait...de peur. Elle ne bougerait plus. Elle n'y parviendrait plus. Elle était désarmée (si on peut appelé un bout de bois pourri une arme...) et blessée et surtout désespérée. Elle aurait voulu être optimiste et croire qu'elle pourrait s'en sortir. Habituellement elle n'abandonnait jamais, mais là il n'y avait même plus de bataille ou de combat, c'était un massacre. Elle serait massacrée et ses pauvres forces n'y changeront rien.
Elle était trop fière pour appeler à l'aide. Elle détestait qu'on l'aide. Elle avait déjà trop demandé aujourd'hui, c'était fini. Et puis de toute façon elle n'était pas sure de parvenir à hurler.
Assise sur le sol, ses mains reposant sur des morceaux de verre, elle attendait. Et elle savait très bien ce qu'elle attendait.

[je suppose qu'une aveugle a pas vraiment des chances de gagner dans un combat (surtout sans entrainement) donc ...]

Red a quelque mètres de la scène u comme une déception de voir la jeune fille tombé au sol sous les coup répéter de l'homme. Elle était courageuse, sans doute, souhaitant se débrouiller par elle même mais n'ayant aucune "prédisposition" a se débrouiller contre les "déchet" de cette ville. après tout que s'attendait-il a voir, sans doute il aurait souhaiter quelle lui tranche la gorge aux premiers coups. Il ferma les yeux quelles que secondes, peut-être serait-il dans la même situation si enfant, ont ne lui avait appris certaine technique a coup de torture. Donc pourquoi pas elle. Une fois ses yeux rouvert u, il un alors seconde idée en tête.
Il se mit alors bruyamment a marcher vers l'endroit de la confrontation , le mercenaire allait tenté de frappé, se coup a la tête, et avec son poing. Red étant a porter de bras de l'homme,il lui attrapa le poignet en pleine course vers la tête de Cécilia, stopper net dans sa course,l'agresseur regarda avec haine Red.
Red vit alors quelle venait de saisir un morceau de verre a coté d'elle, que pensait bien telle faire avec ? il frappa alors brutalement le mendiant en pleine face le poing fermer, lui brisent au passage le nez et le projeta contre le mur, a moitié assommer. Il en profita pour regarder les passant qui lâchement passais a coté d'eux, les ignorants, les plus courageux émit un petit regard de quelque seconde, passant eux aussi leurs chemins. il se retourna alors vers Cécilia qui était assise,il mit un genoux a terres et regarda ses paupières fermés et écouta le son de sa respiration pour voir si elle avait peur ou si elle était calme et allais réagir avec le bout de verre quelle avait en main. trop occuper a sonder la respiration de la jeune fille il ne fit pas attention a l'agresseur qui s'était relevé derrière lui, profitant de la bref déconcentration envers sa personne pour le frapper avec le reste du bâton de Cécilia qu'il avait trouvé en se relevant. Red réagit plus alors par colore de sa propre bêtise, de n'avoir pas plus vite achevé l'homme. Il l'avais frappé a l'épaule gauche obligeant Red a emprunter de sa main droite le bout de verre qu'avait Cécilia, il se releva avec rapidité en face de l'homme et avant qu'il nu le temps de réagir Red lui planta le bout de vers dans la gorge éclaboussant de sang sa chemise et le visage de la jeune fille. Le corps de l'agresseur tomba alors sur le sol inerte, dans un bruit sourd. Il se remit en face de Cécilia reposant une nouvelle fois un genoux a terre scrutant ses paupières fermés. Comme si il pourrait y lire le semtiment qu'elle avait par rapport l'agression soudaine qu'elle venait de subir.

"Bienvenue a Tomodachi."
dit-il avec une voix neutre, sans aucun sentiment. qu'il réserve a sont habitude au autre Devil.

Pour la première fois de puis un long moment, il prit un ton chaleureux qui cette fois si était bien vraie, qui ne pouvait souhaiter que du bien.

"Moi je veux juste t'aider. En apprenant a te défendre, a détester les gens qu'il le mérite, les gens de cette ville."

Bien que au fond de lui Red savait qu'apprendre a une personne a détester les autre allait entrainer d'autre personne dans une spirale de haine. Se qui lui plaisait.

*Personne ne peut lui rendre la vue. moi je peux juste améliorer ses sens et lui "fabriquer" une seconde vue au couleur, noir et rouge.
*

Il se releva et lui prit poliment la main tentant, de l'aider a se relever. il la remit alors sur ses pieds, il tapota les poches de son pantalon noir de serveur sortit un mouchoir blanc déjà maculé de sang de sese ancienne victimes. Et le mit dans la main de Cécilia, pour qu'elle puisse essuyer ses blessure bien qu'insignifiante.
Il recula de quelque pas, comme pour lui de l'air, et attendit une réponse de sa part.

L'homme allait sans doute la frapper à la tête pour l'assomer ou même la tuer, sans trop savoir pourquoi, elle avait prit un morceau de verre en main. Elle se trouvait ridicule. Un simple bout de verre contre un poing plein de haine. Le coup ne vint pourtant pas. Cécilia ne comprenait pas ce qui se passait, elle entendait juste des gémissements. L'aidait-on encore ? Ensuite on se pencha vers elle, sans agressivité. Elle fit confiance à cette impression et attendit. Elle entendit le bruit d'un choc juste devant elle, puis en quelques secondes, on lui déroba son bout de verre... et la suite s'inscrivit sur son visage : sang... mort.
Elle avait la respiration difficile, le sang de son agresseur, sans doute, coulait sur son visage et pourtant elle continuait à avoir un peu peur. Qui avait tué cet homme ... avec tant de violence ? Comment peut on faire une chose pareil à un autre être humain ? Puis elle se rappela que c'était elle, qui avait pris en première le morceau de verre, sur le coup cela lui avait semblé une bonne idée, une idée donnée par le désespoir et la peur.
"Bienvenue à Tomodachi".
La voix lui sembla étrangère. Elle avait l'impression qu'on lui balançait ça simplement. Comme si on lui montrait la méchanceté des hommes, qu'on la lui envoyait au visage. Elle saviat que le monde était comme ça. Mais la confrontation avec la réalité semblait trop violente pour elle. Elle qui vivait un peu dans son propre univers tout noir, se sentir dans une réalité tout autre la déstabilisait.
Le jeune homme reprit d'un ton plus chaleureux. Directement Cécilia retrouva l'identité de son "sauveur" : Adol. Elle fut d'abord étonnée puis un peu rassurée.
*Il vient de tuer un homme, je devrais fuir.* se dit elle sans pour autant le faire. Elle ne voyait aucun corps gisant à ses pieds.
Elle pencha la tête sur le côté, comme si elle réfléchissait à la proposition. Alors qu'elle pesait le pour et le contre, il la releva. Etrangement cela ne l'ennuya pas et elle accepta l'aide sans broncher. Elle utilisa même le mouchoir que venait de lui donner Red. Il y avait de l'amélioration. Ses mains et son visage ressuyée elle rendit le mouchoir.
* pour :
- vu ce qui c'est passé il serait intéressant que je puisse me défendre.
- j'ai toujours voulu savoir me battre
- il a l'air gentil...
contre :
- les apparences sont trompeuses.
- c'est un inconnu.
- Il a tué un homme. (d'un autre côté ca prouve qu'il est doué...)*
Cécilia fronça les sourcils. Comment osait-elle penser qu'il était doué alors qu'il venait de commettre un crime ? Elle ne saviat pas trop quoi répondre. Oui ? non ? Il serait totalement insencé de suivre ses cours (les risques que ce soit un piège était immense. Elle le connaissait à peine et donc devait absolument être méfiante vis à vis de lui.
- Je sais plus où j'en suis. avoua-t-elle pour combler le silence.
Elle réfléchit encore quelques minutes. Perturbée par son détachement après la mort d'un homme.
- je...
*je ne te connais pas, malade mentale !*
- je
* je suis tout à fait d'accord, maître*
- je...ma foi pourquoi pas... finit-elle par dire, guère convaincue et encore hésitante.
Elle avait conscience de son insouciance et de sa stupidité mais...le risque ca apportait des sensations non?

- comment tu comptes m'apprendre à me défendre ? demanda-t-elle plus enthousiaste qu'au début.
Puis elle ajouta tout bas : - Et évite d'employer le mot "aider"...

[désolé je suis usper crevée alors c'est pas terrible ^^"]

Red avais quelque doute sur détermination de la jeune fille. Elle avais serte accepté qu'il "l'aide" a ce débrouiller seule. Mais ces "technique" était bien connue des autre gens comme lui, des gens qui n'avais pas de regret a avoir, des assassin. Lui pour avoir certaine de ces capacité avais était torturé 9 ans, sont organisme c'était habitué et avais assimilé. Il avait une idée, de comment il ferait, mais les risque de défaite serait du a sa volonté.

"Les gens comme moi, sont différent des gens comme toi, ils ont perdu leur enfance. Ou il ont brutalement assimilé des capacité "anormale"

Ils u une seconde d'hésitation. Ils espérer ne pas avoir tore, d'avoir raison, quelle avait la volonté de réussir, Se serait dommage quel ne puisse, pas ressentir le plaisir qui était réserver au gens comme lui. Que deviendrait-elle une fois les technique assimilé, reprendra t'elle sa vit comme si de rien était? Ou suivrait elle une nouvelle voix ?

"Normalement les première capacité que l'on apprend, permette de connaitre la positon d'un ennemi dans le noir, en ressentant ou en voyant la chaleur corporelle des gens. Ont me la appris d'une façon qui prendrais pour toi plusieurs année. Je te propose de l'apprendre d'un manière beaucoup plus radical,plus dangereuse, beaucoup plus douloureuse."

Le principe était la même que la sienne ont lui avait pendant des année, bruler le dos, et maintenant tous sont corps était devenue plus sensible a la chaleur. Elle était aveugle, certaine "substance" pouvait bruler les yeux et faire perdre la vue, ou certaine fois les yeux ne pouvait plus rien voir, sauf tous se qui pouvait emmètre a l'extrême de la chaleur (Homme, Animaux, végetal). Il pouvait alors voir comme des "fantôme", des homme de fumé de couleur qui pouvait allé de rouge vif au bleu claire suivant la température de sont corps, les arbre ressemblé a des sorte de champignon géant bleu clair, les animaux était tous assez différent par rapport a leur gestuelle et a leurs corps.
Quand les "fantôme de chaleur" d'homme sont a l'arrêt, ou marcher il était fiable
mais quand il couré ou fessait des mouvement trop rapide
il pouvait y avoir un temps de latence entre le "fantôme de chaleur" et le corps dons il émanait
Cécilia ne pourrait voir ,les mur, les maison, tous se qui na pas de vie (tous se qui est matérielle) que avec un "pacte".


"Appelle moi Red, Adol est mon nom. Pour apprendre a te défendre, il faudra que tes oreille devienne sensible au son du vent , dans le noir quand les personne bouge, il déplace de l'aire
tu pourras suivre et connaitre ses mouvement juste en les écoutant, peut-être pourra tu les prévoir"

Ainsi Red savait que la vue et l'ouïe devrait se compléter, mais toujours sa serait douloureux et l'adaptation devrait se faire grâce a sa volonté.

[Tu sais ton style d'écriture par rapport a la mienne est excellente, donc ta pas a t'excuser XD de plus j'ai remarqué qu'on a le mérite de faire tourner le fofo en vac
]

*Les gens comme lui ? Qu'est-ce qu'il veut dire par là ? J'aimerais bien le voir tient...pour comprendre.* Habituellement cela ne la dérangeait pas de ne pas voir les gens, elle les imaginait et se contentait de ce mensonge qu'elle frabriquait pour combler le noir. Pourtant, cette fois-ci elle pensait que le voir lui ferait comprendre les choses. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été aussi frustrée d'être aveugle. Il lui arrivait d'avoir des passes où elle en voulait à la terre entière (encore pire que quand elle est normale) mais cela ne lui était plus arrivé depuis quelques temps.
* Perdre son enfance ? Capacités anormales ?* Cécilia n'était pas sure de bien tout saisir. Elle fronça les sourcils pour tenter de comprendre les sous entendus. Que voulait-il dire exactement ? Elle haissait ce sentiment d'incompréhension, même si elle y était habituée. Ce n'était pas rare qu'il se passe des choses qu'elle ne comprennait pas. Elle essayait de ne pas s'énerver dans ces cas là, et elle avait appris qu'ignorer certaines choses avaient des avanages, mais ce sentiment d'incompréhension, elle le détestait quand même. Il était fréquent et terriblement énervant.

"Normalement les première capacité que l'on apprend, permette de connaitre la positon d'un ennemi dans le noir, en ressentant ou en voyant la chaleur corporelle des gens. Ont me la appris d'une façon qui prendrais pour toi plusieurs année. Je te propose de l'apprendre d'un manière beaucoup plus radical,plus dangereuse, beaucoup plus douloureuse."

Plus radical, dangereuse, douloureuse ? Les mots se répétaient dans la tête de Cécilia. Qu'entendait-il exactement par ça ? Elle eut comme un mouvement de recul. Finalement elle aurait peut être du écouté son instinct de fuir ? De fuir cet...assassin. Mais un homme qui sauve une pauvre fille comme elle, peut-il être mauvais ? Il lui a sauvé la vie...il n'a pas hésité à tuer un homme. Comment un homme qui peut assassiner quelqu'un en quelques secondes peut être gentil ? Et de même, comment un individu qui risque sa vie (enfin peut être) pour sauver celle d'une inconnue, peut être méchant ?
Le fait de savoir si c'est un danger ou pas, n'aidera pas vraiment à savoir ce qui allait vraiment se passer et ce qui allait être douloureux. Il poursuivit et Cécilia resta silencieuse.
Ce qu'il proposait était intéressant. Il fallait le reconnaître. Elle, qui était aveugle, rêvait de pouvoir ressentir la présence des autres. Ainsi elle pourrait éviter des accidents (trop nombreux). Elle avait toujours aspiré, toujours désiré, rêver, de voir à nouveau. Et là, on lui proposait une presque vue. Un moyen pas forcément meilleur que la vue, mais un moyen alternatif. Oui, Cécilia serait prête à tout pour cette consolation. Elle ne reverrait sans doute jamais, alors cet espoir lui enlevait toute raison. Elle se sentait prête à le suivre sous n'importe quel prix. Ce qu'il proposait c'était quitter son monde noir...

- Je serai prête à tout pour ça...
Elle ouvrit les yeux, rare chez elle, elle le faisait uniquement lorsque quelques chose d'important se déroulait ou lorsqu'elle était pleine d'espoirs. Et à cet instant, ses yeux brillaient tellement elle voulait ça. Elle voulait son savoir, sa pratique. Cette idée l'envoutait...La trompait sans doute. Elle s'engageait dans l'inconnu. Peut être s'enfonçait-elle dans les ténêbres ou alors s'élevait-elle dans la lumière ?
Elle était déterminée, rien ne l'arrêterait. Elle le fixait, du moins l'espérait.
- Red, je veux commencer tout de suite.

*Sait-il ce qu'il m'offre ? Comprend-t-il à quel point cette pseudo vue m'est salutaire ? Je lui fais confiance...*
Cela faisait longtemps que Cécilia n'avait pas accordé sa confiance. Il y avait si peu de personne en qui elle confierait sa vie, qu'y ajouter cet inconnu semblait idiot et stupide. Eh bien, elle voulait bien l'être, stupide et idiote...

[je ne suis pas d'accord j'aime bien te lire xD (mais bon si continue comme ça on va jamais en finir, donc on s'arrête là (en plus j'aurai le dernier mot comme ca lol)) merci au fait ^^"

c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de mouvement, co heureux qu'on est là lol ]